Source : Pixabay, image libre de droits.
« Grâce à ses pales culminant à 60 m de haut, Floatgen sera en capacité de produire 2 MW, de quoi couvrir la consommation annuelle d’environ 2.000 foyers », explique un article en ligne du journal 20Minutes, qui ajoute : « Pour autant, si l’électricité sera bel et bien réinjectée sur le réseau, il ne s’agira que d’une éolienne de démonstration dont le fonctionnement servira de test grandeur nature. »
Le projet a été mené par sept partenaires européens, dont la start-up française Idéol, le constructeur Bouygues TP et l’école Centrale de Nantes. Ce projet environnemental coûte près de 25 millions d’euros.
Le projet a été mené par sept partenaires européens, dont la start-up française Idéol, le constructeur Bouygues TP et l’école Centrale de Nantes. Ce projet environnemental coûte près de 25 millions d’euros.
L’éolien flottant, des avantages particuliers
Paul de la Guérivière, PDG d’Idéol, explique : « Il y a plus de 3.000 éoliennes en mer installées dans le monde (aucune en France) mais on ne compte que six unités flottantes (quatre Japon, une Norvège, une au Portugal). L’éolien flottant a pour avantage de ne pas avoir de contrainte de profondeur, donc de pouvoir aller chercher des vents forts plus au large, sans impact visuel sur les côtes. Le potentiel est très important. »
Un autre avantage des engins flottants est que « leur assemblage se fait à terre avant d’être transporté sur zone, ce qui réduit les coûts », précise l’article de 20Minutes, qui ajoute : « A Saint-Nazaire, la construction de l’immense flotteur en béton léger se poursuivra jusqu’au printemps : une fois en mer, il sera ancré à 33 m de fond par des lignes en nylon. Et branché au réseau par un câble haute tension sous-marin déjà installé. Le test doit durer deux ans. »
Le PDG d’Idéol assure : « Cette première éolienne est pour nous une vitrine extraordinaire » en vue des prochains appels d’offres que doit lancer le gouvernement français. Quatre projets de fermes éoliennes flottantes ont déjà été attribués par l’Etat, en Bretagne et en Méditerranée, avec pour objectif une installation entre 2020 et 2021. »
Quant à Sébastien Pilard, vice-président du conseil régional des Pays de la Loire, il affirme : « On est au lancement d’une nouvelle filière industrielle avec un impact conséquent en termes d’emploi. C’est un marché d’avenir pour notre région. »
Un autre avantage des engins flottants est que « leur assemblage se fait à terre avant d’être transporté sur zone, ce qui réduit les coûts », précise l’article de 20Minutes, qui ajoute : « A Saint-Nazaire, la construction de l’immense flotteur en béton léger se poursuivra jusqu’au printemps : une fois en mer, il sera ancré à 33 m de fond par des lignes en nylon. Et branché au réseau par un câble haute tension sous-marin déjà installé. Le test doit durer deux ans. »
Le PDG d’Idéol assure : « Cette première éolienne est pour nous une vitrine extraordinaire » en vue des prochains appels d’offres que doit lancer le gouvernement français. Quatre projets de fermes éoliennes flottantes ont déjà été attribués par l’Etat, en Bretagne et en Méditerranée, avec pour objectif une installation entre 2020 et 2021. »
Quant à Sébastien Pilard, vice-président du conseil régional des Pays de la Loire, il affirme : « On est au lancement d’une nouvelle filière industrielle avec un impact conséquent en termes d’emploi. C’est un marché d’avenir pour notre région. »