Source : Pixabay, image libre de droits.
Un article en ligne de BFM Business souligne que « certains réussissent à tirer leur épingle du jeu. Les innombrables aciéries et cimenteries implantées au Shandong en font l'une des provinces les plus irrespirables de Chine, premier pollueur mondial. Mais pour les fabricants de masques antipollution, c'est une aubaine. L'entreprise ASL en a produit plus de 100.000 l'an dernier et compte bien doubler sa production en 2016. »
Le marché des masques anti-pollution, une aubaine pour certains
L’article explique que que « partout ailleurs les ouvriers migrants sont rentrés en famille début février pour le Nouvel an lunaire. Mais chez ASL, le PDG Zhang Wenchao, 29 ans, a tout fait pour les retenir. »
Pour cause, précise Zhang Wenchao : « décembre-avril, c'est la période la plus chargée... car c'est le pic de pollution ». Car comme l'explique l'article de BFM, « en Chine, le marché des masques antipollution représentait en 2015 près de 4 milliards de yuans (560 millions d'euros), selon la presse officielle. La concentration de particules de 2,5 microns de diamètre (PM 2,5), dangereuses car elles pénètrent profondément dans les poumons, pulvérise régulièrement le seuil maximal de 25 microgrammes/m3 recommandé par l'Organisation mondiale de la santé (OMS). A Shenyang (nord-est), elle a même dépassé en novembre ...1.400 ! »
L’article ajoute qu’ « aucune ville n'a atteint les normes requises en 2015. Exacerbée par l'utilisation du charbon pour le chauffage et la production d'électricité, cette pollution entraîne des centaines de milliers de décès prématurés chaque année. »
Pour cause, précise Zhang Wenchao : « décembre-avril, c'est la période la plus chargée... car c'est le pic de pollution ». Car comme l'explique l'article de BFM, « en Chine, le marché des masques antipollution représentait en 2015 près de 4 milliards de yuans (560 millions d'euros), selon la presse officielle. La concentration de particules de 2,5 microns de diamètre (PM 2,5), dangereuses car elles pénètrent profondément dans les poumons, pulvérise régulièrement le seuil maximal de 25 microgrammes/m3 recommandé par l'Organisation mondiale de la santé (OMS). A Shenyang (nord-est), elle a même dépassé en novembre ...1.400 ! »
L’article ajoute qu’ « aucune ville n'a atteint les normes requises en 2015. Exacerbée par l'utilisation du charbon pour le chauffage et la production d'électricité, cette pollution entraîne des centaines de milliers de décès prématurés chaque année. »