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Un article en ligne du journal Le Monde explique que « conjuguées aux mouvements sociaux, les inondations perturbent les transports et la circulation, à une semaine quasiment de l’Euro de football organisé en France. »
En effet, vendredi matin, « le niveau de vigilance en Seine-et-Marne, où plus de 7 600 personnes ont été évacuées, est repassé de rouge à orange, comme douze autres départements (le reste de l’Ile-de-France, le Cher, l’Indre, l’Indre-et-Loire, le Loir-et-Cher et le Loiret). »
Il ajoute que « dans la région Centre, la situation est toujours préoccupante dans le Cher, qui connaît des crues exceptionnelles. La ville de Romorantin a été particulièrement touchée. »
En effet, vendredi matin, « le niveau de vigilance en Seine-et-Marne, où plus de 7 600 personnes ont été évacuées, est repassé de rouge à orange, comme douze autres départements (le reste de l’Ile-de-France, le Cher, l’Indre, l’Indre-et-Loire, le Loir-et-Cher et le Loiret). »
Il ajoute que « dans la région Centre, la situation est toujours préoccupante dans le Cher, qui connaît des crues exceptionnelles. La ville de Romorantin a été particulièrement touchée. »
Le pic de crue attendu ce soir
L’article du Figaro souligne que « malgré des annonces de baisse des eaux lentes sur la quasi-totalité des affluents de la Seine en amont de Paris, la capitale connaît, vendredi 3 juin, une journée compliquée », ajoutant que « le ministère de l’environnement a annoncé en début d’après-midi que le pic de crue sur Paris est prévu, vendredi soir, vers 6,30 m, voire 6,50 m dans des hypothèses plus défavorables. »
Le ministère de l’environnement assure : « Il faut signaler qu’il s’agira d’un plateau plus que d’un pic, ce niveau haut devant rester relativement stable pendant tout le week-end avant d’amorcer la décrue. La décrue est toujours plus lente que la montée des eaux, et c’est un point essentiel à gérer. »
La précédente prévision, vendredi matin, prévoyait « un pic à 6,20 m, soit un niveau sensiblement égal à celui de la dernière grande crue de 1982. »
L’article précise que « les apports des différents affluents restent importants, puisque les crues très importantes, comme sur le Loing et son affluent l’Ouanne, se déplacent vers l’aval, vers la Seine. De nombreux tronçons étaient toujours, vendredi matin, en vigilance orange. »
Lire l’intégralité de l’article du Figaro ici.
Le ministère de l’environnement assure : « Il faut signaler qu’il s’agira d’un plateau plus que d’un pic, ce niveau haut devant rester relativement stable pendant tout le week-end avant d’amorcer la décrue. La décrue est toujours plus lente que la montée des eaux, et c’est un point essentiel à gérer. »
La précédente prévision, vendredi matin, prévoyait « un pic à 6,20 m, soit un niveau sensiblement égal à celui de la dernière grande crue de 1982. »
L’article précise que « les apports des différents affluents restent importants, puisque les crues très importantes, comme sur le Loing et son affluent l’Ouanne, se déplacent vers l’aval, vers la Seine. De nombreux tronçons étaient toujours, vendredi matin, en vigilance orange. »
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