Source : Pixabay, image libre de droits
Cette nouvelle contribution appuiera notamment les programmes du PNUD oeuvrant à lutter contre l'insécurité et l'instabilité ; à améliorer l'accès à la justice pour les groupes défavorisés ; et à aider à rétablir des institutions inclusives et efficaces au lendemain d'un conflit ou d'une catastrophe.
« S'attaquer aux causes sous-jacentes des fragilités est crucial pour aider à prévenir les conflits et assurer la résilience des pays en cas de crise », a déclaré Achim Steiner, l'Administrateur du PNUD, en se félicitant du nouvel accord de partenariat avec la Suisse. « La vaste expérience acquise par les Nations Unies sur le terrain dans le monde entier a montré que renforcer les fonctions essentielles de l'état et garantir l'accès de tous à la justice sont des éléments essentiels pour promouvoir la stabilité et maintenir la paix ».
Avec l'aide financière de la Suisse, les conseillers "Paix et Développement » du PNUD sont présents dans plus de 70 pays, notamment dans la région du Donbass en Ukraine ou pour soutenir l'organisation d'élections pacifiques en Sierra Leone. Leur travail inclut aussi le soutien à des médiateurs locaux ainsi qu'à des initiatives nationales ou communautaires qui identifient les premiers signes de conflit, tout en contribuant à la cohésion sociale et à la réconciliation.
Ces dernières années, la collaboration avec la Suisse a aussi permis des améliorations conséquentes dans le domaine de l'accès à la justice et de la lutte contre l'impunité en République Centrafricaine, avec par exemple l'appui à la création de nouvelles cliniques d'aide dirigées par des femmes qui ont permis d'assister 10 000 personnes dans le pays, dont 2 800 victimes de violences sexuelles et sexistes.
Par ailleurs, le soutien de la Suisse a facilité la réponse du PNUD à la crise liée à l'insurrection de Boko Haram dans le nord du Nigéria. Le PNUD y fournit une aide de subsistance à 82 000 personnes vulnérables et aide à la réhabilitation des écoles et d'autres infrastructures publiques, y compris dans le domaine de la santé ou de l'accès à l'eau. Ces efforts ont pour objectif de recréer un environnement stable et sûr pour le retour des personnes déplacées dans leur propre pays.
« Le Secrétaire Général des Nations unies a placé la prévention des conflits parmi ses priorités. Ce nouveau financement suisse nous aidera à accélérer notre travail conjoint avec les acteurs humanitaires et de paix de l'ONU, en nous coordonnant plus efficacement pour prévenir les crises et leur récurrence. Cela montre également que les initiatives de développement sont essentielles pour instaurer la paix et restaurer la dignité des personnes touchées, ainsi que pour construire des alternatives viables à la guerre et au chaos », a déclaré Asako Okai, Sous-Secrétaire Générale des Nations Unies et Directrice du bureau des crises du PNUD.
Actuellement, plus d' 1,6 milliard de personnes dans le monde vivent dans des régions fragiles ou touchés par un conflit. Le Forum politique de haut niveau des Nations Unies a identifié en 2019 les inégalités, la violence et l'exclusion - en particulier des femmes, des jeunes et des groupes marginalisés comme des obstacles majeurs à la réalisation des Objectifs de Développement Durable.
« S'attaquer aux causes sous-jacentes des fragilités est crucial pour aider à prévenir les conflits et assurer la résilience des pays en cas de crise », a déclaré Achim Steiner, l'Administrateur du PNUD, en se félicitant du nouvel accord de partenariat avec la Suisse. « La vaste expérience acquise par les Nations Unies sur le terrain dans le monde entier a montré que renforcer les fonctions essentielles de l'état et garantir l'accès de tous à la justice sont des éléments essentiels pour promouvoir la stabilité et maintenir la paix ».
Avec l'aide financière de la Suisse, les conseillers "Paix et Développement » du PNUD sont présents dans plus de 70 pays, notamment dans la région du Donbass en Ukraine ou pour soutenir l'organisation d'élections pacifiques en Sierra Leone. Leur travail inclut aussi le soutien à des médiateurs locaux ainsi qu'à des initiatives nationales ou communautaires qui identifient les premiers signes de conflit, tout en contribuant à la cohésion sociale et à la réconciliation.
Ces dernières années, la collaboration avec la Suisse a aussi permis des améliorations conséquentes dans le domaine de l'accès à la justice et de la lutte contre l'impunité en République Centrafricaine, avec par exemple l'appui à la création de nouvelles cliniques d'aide dirigées par des femmes qui ont permis d'assister 10 000 personnes dans le pays, dont 2 800 victimes de violences sexuelles et sexistes.
Par ailleurs, le soutien de la Suisse a facilité la réponse du PNUD à la crise liée à l'insurrection de Boko Haram dans le nord du Nigéria. Le PNUD y fournit une aide de subsistance à 82 000 personnes vulnérables et aide à la réhabilitation des écoles et d'autres infrastructures publiques, y compris dans le domaine de la santé ou de l'accès à l'eau. Ces efforts ont pour objectif de recréer un environnement stable et sûr pour le retour des personnes déplacées dans leur propre pays.
« Le Secrétaire Général des Nations unies a placé la prévention des conflits parmi ses priorités. Ce nouveau financement suisse nous aidera à accélérer notre travail conjoint avec les acteurs humanitaires et de paix de l'ONU, en nous coordonnant plus efficacement pour prévenir les crises et leur récurrence. Cela montre également que les initiatives de développement sont essentielles pour instaurer la paix et restaurer la dignité des personnes touchées, ainsi que pour construire des alternatives viables à la guerre et au chaos », a déclaré Asako Okai, Sous-Secrétaire Générale des Nations Unies et Directrice du bureau des crises du PNUD.
Actuellement, plus d' 1,6 milliard de personnes dans le monde vivent dans des régions fragiles ou touchés par un conflit. Le Forum politique de haut niveau des Nations Unies a identifié en 2019 les inégalités, la violence et l'exclusion - en particulier des femmes, des jeunes et des groupes marginalisés comme des obstacles majeurs à la réalisation des Objectifs de Développement Durable.