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La RSE est un concept qui est encore trop rarement compris par nos contemporains. Trop souvent vu comme une mode qui insiste sur les apparences et l’image de l’entreprise, elle est aussi défendue par ceux qui y voient une nouvelle approche du monde de l’entreprise. C’est notamment le cas du physicien et philosophe Marc Halévy qui signe une tribune sur le site BrefEco.com au titre évocateur : « La RSE n’est pas un problème de réglementation, mais une manière de vivre. »
Selon l’auteur, la RSE doit être résumée comme la réalisation par l’homme qu’il fait partie de son environnement au sens large. « L'Homme n'est plus la mesure de toute chose ! Il ne peut plus se croire au-dessus des réalités naturelles ! Malgré les illusions qu'alimente la vie urbaine déconnectée de la grande et vraie Vie, l'Homme doit comprendre qu'il ne vit pas "hors-sol" » écrit-il avant d’ajouter que « La RSE tend à renouer les liens qui doivent unir l'entreprise à son environnement social et naturel. L'entreprise non plus, ne fonctionne par "hors-sol". Elle est constamment traversée de flux que lui fournissent la communauté humaine et le milieu naturel. »
Puisque l’entreprise vit dans un environnement sur lequel elle a une influence, elle ne peut pas faire abstraction de son impact sur celui-ci. « Toute entreprise est une personne morale aux yeux du Droit. Une personne, donc, comme les autres, comme vous et moi. Un organisme vivant inscrit dans un tissu serré des relations avec la société civile. Une de ces relations est, bien sûr, la relation d'emploi : relation qui peut être respectueuse ou méprisante, épanouissante ou aliénante, joyeuse ou maussade… Le vent managérial souffle aujourd'hui vers une relation d'emploi fondée sur la collaboration, sur la responsabilisation, sur l'autonomie (qui n'est pas indépendance mais interdépendance). Au-delà de la relation d'emploi, il y a aussi toutes les autres relations de voisinage avec leurs synergies à développer et leurs nuisances à atténuer » lit-on plus loin.
Lire en intégralité ici la tribune de Marc Halévy sur le site BrefEco.com
Selon l’auteur, la RSE doit être résumée comme la réalisation par l’homme qu’il fait partie de son environnement au sens large. « L'Homme n'est plus la mesure de toute chose ! Il ne peut plus se croire au-dessus des réalités naturelles ! Malgré les illusions qu'alimente la vie urbaine déconnectée de la grande et vraie Vie, l'Homme doit comprendre qu'il ne vit pas "hors-sol" » écrit-il avant d’ajouter que « La RSE tend à renouer les liens qui doivent unir l'entreprise à son environnement social et naturel. L'entreprise non plus, ne fonctionne par "hors-sol". Elle est constamment traversée de flux que lui fournissent la communauté humaine et le milieu naturel. »
Puisque l’entreprise vit dans un environnement sur lequel elle a une influence, elle ne peut pas faire abstraction de son impact sur celui-ci. « Toute entreprise est une personne morale aux yeux du Droit. Une personne, donc, comme les autres, comme vous et moi. Un organisme vivant inscrit dans un tissu serré des relations avec la société civile. Une de ces relations est, bien sûr, la relation d'emploi : relation qui peut être respectueuse ou méprisante, épanouissante ou aliénante, joyeuse ou maussade… Le vent managérial souffle aujourd'hui vers une relation d'emploi fondée sur la collaboration, sur la responsabilisation, sur l'autonomie (qui n'est pas indépendance mais interdépendance). Au-delà de la relation d'emploi, il y a aussi toutes les autres relations de voisinage avec leurs synergies à développer et leurs nuisances à atténuer » lit-on plus loin.
Lire en intégralité ici la tribune de Marc Halévy sur le site BrefEco.com