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Les sommes sont astronomiques mais à la hauteur de la flotte dont dispose La Poste. « La Poste compte dépenser 200 millions d'euros pour acheter d'ici 2025 quelque 8.000 véhicules utilitaires légers (VUL), qui s'ajouteront aux 7.000 véhicules que compte déjà sa flotte, pour verdir la livraison des premier et dernier kilomètres. "En 2025, il y aura plus de véhicules électriques que thermiques" , a relevé Philippe Dorge. Le dispositif sera complété par l'achat de 1.000 vélos-cargo électriques, qui compléteront les 125 existants. Une livraison Colissimo sur deux ainsi sera décarbonée en 2025 , et 100% dans les grandes agglomérations -contre 16% actuellement-, selon le groupe public » rapporte une dépêche de l’AFP, citant le responsable du département livraison du groupe.
Sortir totalement des véhicules thermiques n’est pour l’heure pas possible étant donné l’utilisation centrale de poids lourds. Aujourd’hui, chaque jour, 5 000 camions acheminent des lettres et des colis. Les véhicules sont gérés par des sous-traitants privés. La Poste veut que d’ici 2030, la moitié des kilomètres parcourus chaque jour soient effectués par des camions « bas carbone ». Mais sans alternative compétitive pour les poids lourds, le groupe assure ne pas pouvoir être plus ambitieux. 400 millions d’euros seront investi pour soutenir les transporteurs dans cette démarche.
« La Poste a pour ambition de réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 30% d'ici à 2025, et d'atteindre le "zéro émission nette" en 2030 grâce à des compensations. L'objectif est de décarboner l'ensemble de ses transports d'ici 2050 » conclue l’Agence France presse. La dépêche ne précise pas en revanche la stratégie du groupe concernant le ferroviaire qui apparait comme l’alternative la plus efficace et durable face aux transports de camions. D’autant qu’en sortie de trains, sur des distances plus courtes, l’utilisation de véhicules électriques pourrait certainement être plus adaptée que pour des longues distances.
Sortir totalement des véhicules thermiques n’est pour l’heure pas possible étant donné l’utilisation centrale de poids lourds. Aujourd’hui, chaque jour, 5 000 camions acheminent des lettres et des colis. Les véhicules sont gérés par des sous-traitants privés. La Poste veut que d’ici 2030, la moitié des kilomètres parcourus chaque jour soient effectués par des camions « bas carbone ». Mais sans alternative compétitive pour les poids lourds, le groupe assure ne pas pouvoir être plus ambitieux. 400 millions d’euros seront investi pour soutenir les transporteurs dans cette démarche.
« La Poste a pour ambition de réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 30% d'ici à 2025, et d'atteindre le "zéro émission nette" en 2030 grâce à des compensations. L'objectif est de décarboner l'ensemble de ses transports d'ici 2050 » conclue l’Agence France presse. La dépêche ne précise pas en revanche la stratégie du groupe concernant le ferroviaire qui apparait comme l’alternative la plus efficace et durable face aux transports de camions. D’autant qu’en sortie de trains, sur des distances plus courtes, l’utilisation de véhicules électriques pourrait certainement être plus adaptée que pour des longues distances.