Par communiqué, France Libertés, la fondation de Danielle Mitterand, annonce qu’elle organisera un atelier « eau, planète et peuple au Forum social Mondial de Tunis ». L’événement se tiendra à l’occasion de la Grande rencontre Euroméditérranéenne de Marseille sur l’eau, connue sous l’appellation GREMME.
Cet événement se déroulera les 6 et 7 février dans les locaux du Conseil Régional. « Elle est organisée dans le droit fil du FAME (Forum alternatif mondial de l'eau) 2012 et prépare la tenue des ateliers sur l'eau du Forum social mondial qui se tiendra à Tunis trois mois plus tard. L'ensemble des entités et des personnes participantes se réuniront autour de cette charte. La GREMME est un forum thématique tel que défini par le mouvement des forums sociaux mondiaux » résume le communiqué.
Cet événement se déroulera les 6 et 7 février dans les locaux du Conseil Régional. « Elle est organisée dans le droit fil du FAME (Forum alternatif mondial de l'eau) 2012 et prépare la tenue des ateliers sur l'eau du Forum social mondial qui se tiendra à Tunis trois mois plus tard. L'ensemble des entités et des personnes participantes se réuniront autour de cette charte. La GREMME est un forum thématique tel que défini par le mouvement des forums sociaux mondiaux » résume le communiqué.
Approfondir la réflexion
Sur son site internet la GREMME explique que « son premier objectif consiste, autour de la Méditerranée, à développer, à diversifier et à approfondir la réflexion collective et plurielle sur le grand et le petit cycle de l'eau, gérés en tant que « commun » dans le cadre de régulations écologiques décidées et planifiées démocratiquement à chaque niveau. »
Le but des débats est de mettre en valeur des systèmes de gestions alternatifs qui remettent en question le fonctionnement marchand, explique le texte. Les bouleversements climatiques rendent urgent le travail de remise au point de la gestion des ressources en eau.
Pour cette édition, « la rencontre mettra l'accent sur le droit humain fondamental à un accès suffisant et permanent à l'eau potable, à l'assainissement et à l'hygiène. Cela supposera non seulement l'inscription de ce droit dans les Constitutions de chaque pays, mais des lois qui obligeront les autorités publiques à l'assurer, le défendre et le développer, en particulier par la mise en place de la gratuité pour des prestations de base.
Le but des débats est de mettre en valeur des systèmes de gestions alternatifs qui remettent en question le fonctionnement marchand, explique le texte. Les bouleversements climatiques rendent urgent le travail de remise au point de la gestion des ressources en eau.
Pour cette édition, « la rencontre mettra l'accent sur le droit humain fondamental à un accès suffisant et permanent à l'eau potable, à l'assainissement et à l'hygiène. Cela supposera non seulement l'inscription de ce droit dans les Constitutions de chaque pays, mais des lois qui obligeront les autorités publiques à l'assurer, le défendre et le développer, en particulier par la mise en place de la gratuité pour des prestations de base.