Source : Pixabay, image libre de droits.
Un article en ligne sur le site d’Itélé souligne ce « constat alarmant qui rappelle une fois de plus l'impact de notre société sur la pollution des océans et de ceux qui le peuplent. »
L’étude en question est celle de l’association Surfrider. Elle conclue : « Les plastiques sont les premiers prédateurs des océans. » L’article d’Itélé précise que cette étude a été « menée depuis plusieurs années dans le cadre du rapport "Monitoring marine litter accross Europe". » Elle révèle ainsi « que 80% des déchets retrouvés sur cinq sites français et espagnols sont d’origine plastique. »
L’étude en question est celle de l’association Surfrider. Elle conclue : « Les plastiques sont les premiers prédateurs des océans. » L’article d’Itélé précise que cette étude a été « menée depuis plusieurs années dans le cadre du rapport "Monitoring marine litter accross Europe". » Elle révèle ainsi « que 80% des déchets retrouvés sur cinq sites français et espagnols sont d’origine plastique. »
Les espèces en danger
L’article explique que « de la Bretagne au Pays Basque, les plages, littoraux, océans et fonds marins sont pollués par des bouteilles, des sacs, des bouchons en plastique ou des cotons tiges. » A cela s’ajoutent également « des cordages et filets, des mégots, des emballages de confiserie ou de paquet de chips, des déchets sanitaires comme des couches ou des suppositoires. »
L’article ajoute que « ce premier recensement des déchets est basé sur le protocole OSPAR (Oslo-Paris), la référence européenne pour les opérations de collecte et d’analyse. » Il a été mené « à l’aide de centaines de bénévoles de l’ONG Surfrider. Cette méthodologie commune à l’Europe préconise que les sites soient surveillés et étudiés une fois par saison, soit quatre fois dans l’année. »
Ainsi, en 2015, « les bénévoles de Surfrider Finistère ont donc débuté le recensement sur la plage de Porsmilin, avant que d’autres le reproduisent sur trois plages espagnoles et une autre plage française, La Barre, située à Anglet, dans le Pays basque. »
Le rapport souligne « l'évaluation globale de la pollution de la surface de l'ensemble des mers par les plastiques flottants se chiffrerait à 269.000 tonnes. » Or « les déchets aquatiques en général et les plastiques en particulier causent de nombreux dommages à l'environnement marin. »
Le principal auteur du rapport, Cristina Barreau, constate que « les déchets plastiques ont des impacts sur la faune, les espèces marines. » Et que par conséquent, « 690 d’entre elles seraient impactées. Mais ce fléau ne touche pas simplement la faune et la flore. Toujours selon Cristina Barreau, l’impact est aussi important sur "les activités socio-économiques", notamment la pêche et le tourisme. »
Lire l’intégralité de l’article d’Itélé ici.
L’article ajoute que « ce premier recensement des déchets est basé sur le protocole OSPAR (Oslo-Paris), la référence européenne pour les opérations de collecte et d’analyse. » Il a été mené « à l’aide de centaines de bénévoles de l’ONG Surfrider. Cette méthodologie commune à l’Europe préconise que les sites soient surveillés et étudiés une fois par saison, soit quatre fois dans l’année. »
Ainsi, en 2015, « les bénévoles de Surfrider Finistère ont donc débuté le recensement sur la plage de Porsmilin, avant que d’autres le reproduisent sur trois plages espagnoles et une autre plage française, La Barre, située à Anglet, dans le Pays basque. »
Le rapport souligne « l'évaluation globale de la pollution de la surface de l'ensemble des mers par les plastiques flottants se chiffrerait à 269.000 tonnes. » Or « les déchets aquatiques en général et les plastiques en particulier causent de nombreux dommages à l'environnement marin. »
Le principal auteur du rapport, Cristina Barreau, constate que « les déchets plastiques ont des impacts sur la faune, les espèces marines. » Et que par conséquent, « 690 d’entre elles seraient impactées. Mais ce fléau ne touche pas simplement la faune et la flore. Toujours selon Cristina Barreau, l’impact est aussi important sur "les activités socio-économiques", notamment la pêche et le tourisme. »
Lire l’intégralité de l’article d’Itélé ici.