Source : Pixabay, image libre de droits.
Un article en ligne du journal Les Echos souligne « les différences et les réels impacts de chaque notion sur la biodiversité et la protection de l’environnement. »
L’écologie « est avant tout considérée comme une science qui analyse les interactions et les impacts entre les êtres vivants et les différents écosystèmes existants » et « désigne également la science de l'habitat. »
Ainsi, « plusieurs noms communs vont dériver de ce mot comme écologue qui est un scientifique spécialiste de l'écologie, ou "écologiste" qui est un militant défendant la nature et les équilibres biologiques. »
L’écologie « est avant tout considérée comme une science qui analyse les interactions et les impacts entre les êtres vivants et les différents écosystèmes existants » et « désigne également la science de l'habitat. »
Ainsi, « plusieurs noms communs vont dériver de ce mot comme écologue qui est un scientifique spécialiste de l'écologie, ou "écologiste" qui est un militant défendant la nature et les équilibres biologiques. »
Des différences de fond
Le mot environnement « désigne plutôt un cadre de vie de l'homme. L'environnement naturel fait souvent l'objet de dégradation, de surexploitation, de déforestation, de pollution, qui est souvent le résultat de l'énorme impact des activités humaines. »
Malheureusement, le terme d’écologie « prête à confusion, car elle peut également transcender une dimension politique. Les partis verts qui sont apparus dans les années 60 prônent la nécessité de protéger la nature et l'environnement. »
L’article ajoute que « le terme écologie est donc souvent utilisé pour les désigner dans le langage courant. En réalité, il convient mieux d'utiliser le mot écologisme qui correspond à une idéologie politique. »
L’article souligne qu’on peut également « l'associer à d'autres termes pour obtenir des sous-sections comme "l'écologie humaine" qui est la partie de l'écologie qui étudie l'espèce humaine. "L'écologie politique" quant à lui, est un ensemble de courants de pensée qui insistent sur la prise en compte des enjeux écologiques dans toutes actions ou décisions politiques. »
En outre, l’écologie est un réel outil « de lutte contre le réchauffement climatique est un des changements les plus inquiétants que subit notre planète. Il permet d'analyser les modifications du climat qui entraînent de mauvaises récoltes, la fonte de la calotte glaciaire, la sècheresse, la canicule..., en identifiant un problème environnemental urgent : les émissions de gaz à effet de serre. »
Lire l’intégralité de l’article des Echos ici.
Malheureusement, le terme d’écologie « prête à confusion, car elle peut également transcender une dimension politique. Les partis verts qui sont apparus dans les années 60 prônent la nécessité de protéger la nature et l'environnement. »
L’article ajoute que « le terme écologie est donc souvent utilisé pour les désigner dans le langage courant. En réalité, il convient mieux d'utiliser le mot écologisme qui correspond à une idéologie politique. »
L’article souligne qu’on peut également « l'associer à d'autres termes pour obtenir des sous-sections comme "l'écologie humaine" qui est la partie de l'écologie qui étudie l'espèce humaine. "L'écologie politique" quant à lui, est un ensemble de courants de pensée qui insistent sur la prise en compte des enjeux écologiques dans toutes actions ou décisions politiques. »
En outre, l’écologie est un réel outil « de lutte contre le réchauffement climatique est un des changements les plus inquiétants que subit notre planète. Il permet d'analyser les modifications du climat qui entraînent de mauvaises récoltes, la fonte de la calotte glaciaire, la sècheresse, la canicule..., en identifiant un problème environnemental urgent : les émissions de gaz à effet de serre. »
Lire l’intégralité de l’article des Echos ici.