Creative Commons- Mont Agou Togo
« Le changement climatique occasionné par le mauvais temps et les événements météorologiques extrêmes exacerbent certaines difficultés en Afrique, telles que l'insécurité alimentaire et la propagation des maladies » estime l’Organisation météorologique mondiale (OMM). En 2012, 37,3 millions d’Africains auraient ainsi été « négativement affectés par les risques hydrométéorologiques, ce qui représente une augmentation de 43,3 % de la moyenne annuelle au cours de la dernière décennie. »
Si les conséquences du réchauffement climatique sont problématiques pour la plus grande partie des régions du monde, les zones les moins développées sont particulièrement concernées. En Afrique, les zones les moins équipées en infrastructures et très dépendantes de l’agriculture sont très vulnérables.
Si les conséquences du réchauffement climatique sont problématiques pour la plus grande partie des régions du monde, les zones les moins développées sont particulièrement concernées. En Afrique, les zones les moins équipées en infrastructures et très dépendantes de l’agriculture sont très vulnérables.
Sommet météorologique africain
« Par conséquent, le sommet African Ministerial Conference on Meteorology (AMCOMET) intensifie ses efforts d'intégration de services météorologiques et climatologiques aux cadres de développement nationaux et sous-régionaux, dans le but de sauver des vies et d'améliorer l'existence des communautés » continue l’OMM. Depuis 2010, ce sommet a pour but de fédérer les autorités autour des questions liées au climat et à la météo.
Le continent africain est en première ligne en matière de renforcement de la résilience face « aux effets néfastes du changement climatique. » Les autorités africaines engagées dans le cadre de l’Union africaine ont mis en place un « Agenda 2063 – L’avenir que nous voulons pour l’Afrique. »
« Du 26 au 30 mai 2014, l'événement « Task Force and Bureau Meeting of AMCOMET » organisé à Harare par le Zimbabwe précisera le projet du programme de mise en oeuvre de la Stratégie africaine intégrée pour la météorologie (services météorologiques et climatiques) pour la période 2014-2018 » explique le communiqué.
Les représentants de l’Union africaine mettent en avant la possibilité d’une solution panafricaine plutôt que différenciée, conformément à la déclaration de Nairobi de 2010.
Le continent africain est en première ligne en matière de renforcement de la résilience face « aux effets néfastes du changement climatique. » Les autorités africaines engagées dans le cadre de l’Union africaine ont mis en place un « Agenda 2063 – L’avenir que nous voulons pour l’Afrique. »
« Du 26 au 30 mai 2014, l'événement « Task Force and Bureau Meeting of AMCOMET » organisé à Harare par le Zimbabwe précisera le projet du programme de mise en oeuvre de la Stratégie africaine intégrée pour la météorologie (services météorologiques et climatiques) pour la période 2014-2018 » explique le communiqué.
Les représentants de l’Union africaine mettent en avant la possibilité d’une solution panafricaine plutôt que différenciée, conformément à la déclaration de Nairobi de 2010.