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Et de huit. « La Commission salue l'adoption par le Conseil d'un huitième train de lourdes sanctions infligées à la Russie en raison de son agression contre l'Ukraine. Ce train de mesures, étroitement coordonné avec nos partenaires internationaux, est une riposte à l'escalade de la Russie dans la guerre illégale qu'elle continue de livrer à l'Ukraine, qu'illustrent notamment l'annexion de territoires ukrainiens à l'issue de simulacres de « référendums », la mobilisation de troupes supplémentaires et la menace de l'arme nucléaire ouvertement brandie » rapporte l’exécutif européen.
La décision suit celle annoncée au début du mois par le Département d’État américain qui avait annoncé une réaction forte suite aux scrutins annoncés par la Russie. Washington avait alors annoncé que les sanctions seraient prises avec les alliés des États-Unis. C’est donc chose faite.
« Ce train de sanctions de l'UE instaure pour 7 milliards d'euros de nouvelles interdictions d'importation afin de réduire les revenus de la Russie, ainsi que des restrictions à l'exportation, qui priveront encore davantage le complexe militaro-industriel du Kremlin de composants et de technologies clés, et l'économie russe des services et du savoir-faire européens. Ces sanctions privent également l'armée russe, et ses fournisseurs, de certains biens et équipements supplémentaires qui lui sont nécessaires pour mener sa guerre sur le territoire ukrainien. Ce train de mesures jette aussi les bases du cadre juridique requis pour mettre en oeuvre le plafonnement des prix du pétrole envisagé par le G7 » ajoute la Commission européenne.
Sans surprise, ce sont donc les personnes soupçonnées d’avoir joué un rôle dans l’organisation de ces votes douteux qui sont concernés : « Ces ajouts ciblent des personnes et entités impliquées dans l'occupation russe, l'annexion illégale et les simulacres de «référendums» dans les territoires (oblasts) occupés des régions de Donetsk, Louhansk, Kherson et Zaporijjia. Ils comprennent également des personnes et entités travaillant dans le secteur de la défense, telles que des hauts fonctionnaires et des militaires, ainsi que des entreprises soutenant les forces armées russes. L'UE continue également à cibler les acteurs de la désinformation sur la guerre. »
La décision suit celle annoncée au début du mois par le Département d’État américain qui avait annoncé une réaction forte suite aux scrutins annoncés par la Russie. Washington avait alors annoncé que les sanctions seraient prises avec les alliés des États-Unis. C’est donc chose faite.
« Ce train de sanctions de l'UE instaure pour 7 milliards d'euros de nouvelles interdictions d'importation afin de réduire les revenus de la Russie, ainsi que des restrictions à l'exportation, qui priveront encore davantage le complexe militaro-industriel du Kremlin de composants et de technologies clés, et l'économie russe des services et du savoir-faire européens. Ces sanctions privent également l'armée russe, et ses fournisseurs, de certains biens et équipements supplémentaires qui lui sont nécessaires pour mener sa guerre sur le territoire ukrainien. Ce train de mesures jette aussi les bases du cadre juridique requis pour mettre en oeuvre le plafonnement des prix du pétrole envisagé par le G7 » ajoute la Commission européenne.
Sans surprise, ce sont donc les personnes soupçonnées d’avoir joué un rôle dans l’organisation de ces votes douteux qui sont concernés : « Ces ajouts ciblent des personnes et entités impliquées dans l'occupation russe, l'annexion illégale et les simulacres de «référendums» dans les territoires (oblasts) occupés des régions de Donetsk, Louhansk, Kherson et Zaporijjia. Ils comprennent également des personnes et entités travaillant dans le secteur de la défense, telles que des hauts fonctionnaires et des militaires, ainsi que des entreprises soutenant les forces armées russes. L'UE continue également à cibler les acteurs de la désinformation sur la guerre. »