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Et si le changement d’heure disparaissait ? Sous la présidence de Valéry Giscard-d’Estaing en 1976, les Français ont découvert le décalage d’une heure entre l’été et l’hiver. Une pratique qui avait pour objectif de faire des économies en utilisant moins l’éclairage artificiel. En 1998, les pays de l’Union européenne adoptaient la même mesure dans un soucis d’alignement et convaincus par les mêmes arguments.
Il est d’autant plus étonnant de voir Bruxelles militer pour la disparition de cette pratique alors que d’un point de vue écologique, rétrospectivement, elle était avant-gardiste. « Selon le ministère de la Transition écologique, le changement d'heure aurait permis d'économiser 440 gigawattheures en 2009, soit la consommation d'électricité de 800.000 ménages pendant un an, et d'éviter l'émission de plus de 80.000 tonnes de CO2. Le changement d'heure a également été conçu pour des questions de sécurité routière, d'augmentation des loisirs en soirée, ou d'alignement des pratiques nationales et commerciales sur celles des autres pays » précise un article de la radio RTL.
A l’origine de la proposition, l’eurodéputée française Karmia Delli. Elle a été à l’origine d’un texte proposant l’évaluation et peut-être une révision du système. Et si 384 députés ont voté pour que le changement d’heure disparaisse, c’est avant tout parce qu’ils estiment que d’un point de vue d’économie d’énergie ce n’est plus aussi intéressant que naguère. « De nombreuses mesures ont été mises en place au cours de ces dernières années pour permettre des économies dans plusieurs domaines. Pour la lumière, une économie d'électricité de 90% est réalisée seulement grâce aux ampoules LED. De même, l'interdiction des sacs plastiques dans les supermarchés, le recyclage du verre, du papier, du plastique... a été au total 250 fois plus utile que le changement d'heure » liste RTL. En parallèle, il semble que les effets physiques et psychologiques importants pour beaucoup de personnes. Peu d’avantage pour des inconvénients en somme. Une consultation publique a été lancée début juillet et sera déterminante.
Il est d’autant plus étonnant de voir Bruxelles militer pour la disparition de cette pratique alors que d’un point de vue écologique, rétrospectivement, elle était avant-gardiste. « Selon le ministère de la Transition écologique, le changement d'heure aurait permis d'économiser 440 gigawattheures en 2009, soit la consommation d'électricité de 800.000 ménages pendant un an, et d'éviter l'émission de plus de 80.000 tonnes de CO2. Le changement d'heure a également été conçu pour des questions de sécurité routière, d'augmentation des loisirs en soirée, ou d'alignement des pratiques nationales et commerciales sur celles des autres pays » précise un article de la radio RTL.
A l’origine de la proposition, l’eurodéputée française Karmia Delli. Elle a été à l’origine d’un texte proposant l’évaluation et peut-être une révision du système. Et si 384 députés ont voté pour que le changement d’heure disparaisse, c’est avant tout parce qu’ils estiment que d’un point de vue d’économie d’énergie ce n’est plus aussi intéressant que naguère. « De nombreuses mesures ont été mises en place au cours de ces dernières années pour permettre des économies dans plusieurs domaines. Pour la lumière, une économie d'électricité de 90% est réalisée seulement grâce aux ampoules LED. De même, l'interdiction des sacs plastiques dans les supermarchés, le recyclage du verre, du papier, du plastique... a été au total 250 fois plus utile que le changement d'heure » liste RTL. En parallèle, il semble que les effets physiques et psychologiques importants pour beaucoup de personnes. Peu d’avantage pour des inconvénients en somme. Une consultation publique a été lancée début juillet et sera déterminante.