Source : Pixabay, image libre de droits.
Un article en ligne du journal Les Echos se demande si « l'épisode météo à l'origine des inondations est l'impact du changement climatique. »
L’article souligne que « les prévisionistes de Méteo France sont formels, les 139 millimètres de pluie tombés à Orléans représentent plus de deux fois la quantité de pluie tombée par rapport à la normale ; »
Il ajoute que « sur les cumuls constatés sur l'ensemble du mois de mai à Paris, Orléans, Blois ou Trappes, un tel niveau de pluie n'a jamais été atteint depuis que les statistiques existent. On parle d'une durée de retour centenale. »
L’article souligne que « les prévisionistes de Méteo France sont formels, les 139 millimètres de pluie tombés à Orléans représentent plus de deux fois la quantité de pluie tombée par rapport à la normale ; »
Il ajoute que « sur les cumuls constatés sur l'ensemble du mois de mai à Paris, Orléans, Blois ou Trappes, un tel niveau de pluie n'a jamais été atteint depuis que les statistiques existent. On parle d'une durée de retour centenale. »
Des sols propices au ruissellement
L’article explique que « cet événement historique est intervenu sur des sols déjà très humides, donc propices au ruissellement » et que « dans le cas particulier de l'Ile-de-France, l'épisode pluvieux intervient aux deux tiers du printemps, alors que les quatre lacs réservoirs qui permettent de stocker les écoulements en période de crise sont déjà pratiquement pleins. »
En effet, « ils servent de réservoir pour alimenter la Seine l'été lorsque les débits du fleuve sont insuffisants. »
En 1910, la situation était encore « plus difficile à gérer car la pluie ne pouvait s'infiltrer sur des sols gelés. Résultat, il avait fallu plus de deux mois pour que le fleuve retrouve son niveau normal. »
L’article du Figaro ajoute que « le groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) a montré la responsabilité de l'homme sur l'augmentation du niveau de gaz à effet de serre et l'augmentation des températures. »
Cependant, « il est difficile de faire un lien direct avec chaque épisode exceptionnel, si ce n'est l'idée qu'ils vont devenir plus fréquents et qu'il faut améliorer la résilience des territoires. »
Pour les prochains jours, « l'onde de crue se rapproche de la capitale et le niveau devrait atteindre ce vendredi entre 5,30 et 5,90 mètres, loin des 8,62 mètres de 1910 et des 6,15 mètres de janvier 1982. »
Ainsi, « la Seine a été placée en vigilance orange à Paris. La vigilance rouge, dernier stade de l'alerte crues, n'est déclenchée qu'au-delà de 7,30 mètres, seuil de danger pour les habitants. »
Lire l’intégralité de l’article du Figaro ici
En effet, « ils servent de réservoir pour alimenter la Seine l'été lorsque les débits du fleuve sont insuffisants. »
En 1910, la situation était encore « plus difficile à gérer car la pluie ne pouvait s'infiltrer sur des sols gelés. Résultat, il avait fallu plus de deux mois pour que le fleuve retrouve son niveau normal. »
L’article du Figaro ajoute que « le groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) a montré la responsabilité de l'homme sur l'augmentation du niveau de gaz à effet de serre et l'augmentation des températures. »
Cependant, « il est difficile de faire un lien direct avec chaque épisode exceptionnel, si ce n'est l'idée qu'ils vont devenir plus fréquents et qu'il faut améliorer la résilience des territoires. »
Pour les prochains jours, « l'onde de crue se rapproche de la capitale et le niveau devrait atteindre ce vendredi entre 5,30 et 5,90 mètres, loin des 8,62 mètres de 1910 et des 6,15 mètres de janvier 1982. »
Ainsi, « la Seine a été placée en vigilance orange à Paris. La vigilance rouge, dernier stade de l'alerte crues, n'est déclenchée qu'au-delà de 7,30 mètres, seuil de danger pour les habitants. »
Lire l’intégralité de l’article du Figaro ici