Creative Commons Pixabay
Histoire marquante. "Alors que Leroy Mwasaru n'était encore qu'un adolescent, il a remarqué un problème majeur dans son pensionnat kenyan : les eaux usées s'écoulaient directement dans un ruisseau voisin par un vieux tuyaux usé, alors que celui-là était une source d'eau pour une communauté voisine", commence le Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE).
"Mwasaru, âgé maintenant de 22 ans, explique qu'il ne pouvait pas rester les bras croisés sans rien faire", assure le PNUE, précisant qu'armé "de quelques manuels scolaires, il a entrepris avec plusieurs camarades de classe d'élaborer un système qui transformerait les déchets humains en énergie. Le premier prototype n'a pas fonctionné, explique Mwasaru, mais l'équipe a fini par mettre au point un modèle fonctionnel qui alimente aujourd'hui l'école".
Ce succès a conduit Mwasaru à fonder "Greenpact, une start-up qui produit des systèmes de valorisation énergétique des déchets abordables et de haute qualité, connus sous le nom de digesteurs de biogaz. Ce travail a fait de Mwasaru le plus jeune entrepreneur de la liste Forbes Africa 30 under 30 en 2018".
"Notre objectif est de devenir le premier fournisseur de solutions énergétiques à base de biogaz en Afrique", déclare Mwasaru, "qui souhaite mettre ces systèmes à la disposition des agriculteurs, des institutions et des foyers pour enfants".
Dans son communiqué", le PNUE souligne que "15 000 Kenyans utilisent les systèmes de Greenpact : ses équipements sont connectés aux réseaux d'égouts domestiques, piègent les déchets et les convertissent en un gaz qui peut être utilisé pour la cuisine grâce à une simple réaction chimique". En utilisant ce système, "les Kenyans n'ont plus besoin d'abattre des arbres pour se procurer du bois de chauffage, l'une des principales causes de déforestation dans un pays qui a perdu plus d'un tiers de sa couverture forestière au cours des 60 dernières années".
"Ces utilisateurs peuvent désormais cuisiner sans avoir à utiliser du bois de chauffage ou du charbon de bois, qui sont nuisibles à la fois à leur santé et à l'environnement", explique Mwasaru. "En utilisant une énergie propre et renouvelable, nous prenons des mesures pour un environnement plus sain. Et chaque petit pas compte".
"Mwasaru, âgé maintenant de 22 ans, explique qu'il ne pouvait pas rester les bras croisés sans rien faire", assure le PNUE, précisant qu'armé "de quelques manuels scolaires, il a entrepris avec plusieurs camarades de classe d'élaborer un système qui transformerait les déchets humains en énergie. Le premier prototype n'a pas fonctionné, explique Mwasaru, mais l'équipe a fini par mettre au point un modèle fonctionnel qui alimente aujourd'hui l'école".
Ce succès a conduit Mwasaru à fonder "Greenpact, une start-up qui produit des systèmes de valorisation énergétique des déchets abordables et de haute qualité, connus sous le nom de digesteurs de biogaz. Ce travail a fait de Mwasaru le plus jeune entrepreneur de la liste Forbes Africa 30 under 30 en 2018".
"Notre objectif est de devenir le premier fournisseur de solutions énergétiques à base de biogaz en Afrique", déclare Mwasaru, "qui souhaite mettre ces systèmes à la disposition des agriculteurs, des institutions et des foyers pour enfants".
Dans son communiqué", le PNUE souligne que "15 000 Kenyans utilisent les systèmes de Greenpact : ses équipements sont connectés aux réseaux d'égouts domestiques, piègent les déchets et les convertissent en un gaz qui peut être utilisé pour la cuisine grâce à une simple réaction chimique". En utilisant ce système, "les Kenyans n'ont plus besoin d'abattre des arbres pour se procurer du bois de chauffage, l'une des principales causes de déforestation dans un pays qui a perdu plus d'un tiers de sa couverture forestière au cours des 60 dernières années".
"Ces utilisateurs peuvent désormais cuisiner sans avoir à utiliser du bois de chauffage ou du charbon de bois, qui sont nuisibles à la fois à leur santé et à l'environnement", explique Mwasaru. "En utilisant une énergie propre et renouvelable, nous prenons des mesures pour un environnement plus sain. Et chaque petit pas compte".