DR Afrique7.com
Le secteur primaire kenyan est constitué en grande partie de petits exploitants. Ces agriculteurs sont en grandes difficultés face aux grandes coopératives. Nombre d’entre eux ont été obligés de vendre leur terre à cause de financières et d'emprunts trop lourds. À ce problème s’ajoute celui de l’incapacité, par manque de moyens et de connaissances, des petits exploitants de lutter contre l’érosion des sols.
Pour lutter contre ces problématiques, Abdias Ngigi, ingénieur agronome, a conçu un système de financement avantageux pour les exploitants. Par un système de crédits peu onéreux, il cherche à aider les petits exploitants à conserver leurs terres.
Pour lutter contre ces problématiques, Abdias Ngigi, ingénieur agronome, a conçu un système de financement avantageux pour les exploitants. Par un système de crédits peu onéreux, il cherche à aider les petits exploitants à conserver leurs terres.
Mesures simples de conservation des terres
Même si Abdias Ngigi explique que son projet visait avant tout à proposer aux agriculteurs des crédits moins contraignants, il ajoute que la protection de l’environnement est également au cœur de son initiative.
Comme beaucoup de pays agricoles et sous développés, le Kenya voit ses terres s’appauvrir. Les difficultés financières des petits exploitants et les contraintes de rentabilité excluent bien souvent les préoccupations environnementales. Beaucoup de terres sont de surcroit sur des pentes où l’érosion des sols pose des problèmes sérieux.
M. Ngigi a ainsi ajouté son expertise technique en accompagnement du crédit alloué aux exploitants. Les agriculteurs qui souhaitent obtenir un financement moins contraignant doivent mettre en place quelques mesures de conservation et de lutte contre l’érosion des sols. Les solutions sont simples et écologiques : plantation de bandes enherbées dans les zones en pente, plantation et protection d’arbres.
Le site d’informations Afrique7.com, qui a publié l’information, affirme que « Selon les témoignages recueillis auprès des agriculteurs, les résultats de cette initiative sont encourageants. Nombreux sont ceux qui avaient peur d’emprunter de l’argent et qui ont changé d’idée après avoir été informé du programme de Ngigi et ses associés. Ainsi, « en dépit de sa portée encore limitée, le but que se sont fixé ces ingénieurs est de faire du besoin de crédit un moyen contribuant à une meilleure gestion de l’environnement.»
Comme beaucoup de pays agricoles et sous développés, le Kenya voit ses terres s’appauvrir. Les difficultés financières des petits exploitants et les contraintes de rentabilité excluent bien souvent les préoccupations environnementales. Beaucoup de terres sont de surcroit sur des pentes où l’érosion des sols pose des problèmes sérieux.
M. Ngigi a ainsi ajouté son expertise technique en accompagnement du crédit alloué aux exploitants. Les agriculteurs qui souhaitent obtenir un financement moins contraignant doivent mettre en place quelques mesures de conservation et de lutte contre l’érosion des sols. Les solutions sont simples et écologiques : plantation de bandes enherbées dans les zones en pente, plantation et protection d’arbres.
Le site d’informations Afrique7.com, qui a publié l’information, affirme que « Selon les témoignages recueillis auprès des agriculteurs, les résultats de cette initiative sont encourageants. Nombreux sont ceux qui avaient peur d’emprunter de l’argent et qui ont changé d’idée après avoir été informé du programme de Ngigi et ses associés. Ainsi, « en dépit de sa portée encore limitée, le but que se sont fixé ces ingénieurs est de faire du besoin de crédit un moyen contribuant à une meilleure gestion de l’environnement.»