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Considérés à raison comme inutiles, les emballages plastiques de la plupart des légumes vont disparaitre. « Dès 2022, de nombreux fruits et légumes frais non transformés ne pourront plus être vendus sous plastique en France, avec des tolérances jusqu’en 2026 pour les plus fragiles comme les fruits rouges, selon un communiqué du gouvernement ce lundi 11 octobre. Côté légumes, poireaux, courgettes, aubergines, poivrons, concombres, pommes de terre, carottes, tomates rondes, oignons, navets, choux, choux-fleurs, courges, panais, radis, topinambours, légumes racines devront être sur les étals sans emballages plastiques » relève L’Obs.
La mesure est loin d’être anecdotique. Plus d’un tiers des légumes vendus le sont sous plastique et le gouvernement espère qu’en les supprimant un milliard d’emballages seront économisés. « Les trois ministères signataires (Economie, Transition écologique, Agriculture et Alimentation) relèvent dans leur communiqué que la date d’entrée en vigueur est fixée au 1er janvier 2022 « comme prévu par la loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire de février 2020, dite loi AGEC ». Pour les fruits et légumes « présentant un risque important de détérioration de leur vente en vrac », le décret accorde jusqu’au 30 juin 2026 pour trouver des solutions alternatives », continue le magazine.
Quelques tomates ou autres produits de primeurs auront un délai supplémentaire jusqu’en juin 2023. « Côté légumes, endives, asperges, brocolis, champignons, pommes de terre et carottes primeur, salade, mâche, jeunes pousses, herbes aromatiques, épinards, oseille, fleurs comestibles, et pousses de haricot mungo pourront rester sous plastique jusqu’au 31 décembre 2024. Ainsi que les cerises, canneberges, airelles et physalis. Les exemptions les plus longues sont accordées aux fruits mûrs à point, aux graines germées, et aux fruits rouges qui ont jusqu’au 30 juin 2026 pour se débarrasser du plastique. Un délai de six mois est aussi accordé pour « écoulement des stocks d’emballages » » précise l’article.
La mesure est loin d’être anecdotique. Plus d’un tiers des légumes vendus le sont sous plastique et le gouvernement espère qu’en les supprimant un milliard d’emballages seront économisés. « Les trois ministères signataires (Economie, Transition écologique, Agriculture et Alimentation) relèvent dans leur communiqué que la date d’entrée en vigueur est fixée au 1er janvier 2022 « comme prévu par la loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire de février 2020, dite loi AGEC ». Pour les fruits et légumes « présentant un risque important de détérioration de leur vente en vrac », le décret accorde jusqu’au 30 juin 2026 pour trouver des solutions alternatives », continue le magazine.
Quelques tomates ou autres produits de primeurs auront un délai supplémentaire jusqu’en juin 2023. « Côté légumes, endives, asperges, brocolis, champignons, pommes de terre et carottes primeur, salade, mâche, jeunes pousses, herbes aromatiques, épinards, oseille, fleurs comestibles, et pousses de haricot mungo pourront rester sous plastique jusqu’au 31 décembre 2024. Ainsi que les cerises, canneberges, airelles et physalis. Les exemptions les plus longues sont accordées aux fruits mûrs à point, aux graines germées, et aux fruits rouges qui ont jusqu’au 30 juin 2026 pour se débarrasser du plastique. Un délai de six mois est aussi accordé pour « écoulement des stocks d’emballages » » précise l’article.