ILD
Un communiqué du ministère de l’environnement tend montre que le gouvernement ne s’est pas désintéressé du cas des néonicotinoïdes depuis leur interdiction dans le cadre de la loi sur la biodiversité. Ces insecticides qui posent un sérieux problème de déclin des abeilles, et pourraient même avoir des conséquences sur la santé de l’homme, ne pourront plus être utilisé en France à partir de septembre 2018.
Comme toutes les décisions liées aux produits chimiques utilisés par des professionnels, la suppression doit être suivie de solutions fiables d’alternatives. « Pour accompagner cette interdiction le gouvernement a chargé l'Anses d'identifier les substituts possibles aux néonicotinoïdes pour tous les usages, de vérifier leur efficacité ainsi que leur viabilité (technique et financière) et les éventuels points d'attention sur leur impact environnemental ou sanitaire » explique ainsi le ministère de l’Environnement dans un communiqué.
A l’occasion de la publication d’un rapport par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses) le gouvernement veut montrer que la suppression de ces substances ne va pas pénaliser les producteurs. « Il s'agit d'une méthode d'identification des substituts innovante mise en place par l'Anses, et établie en faisant appel à de nombreux experts, aux agriculteurs et aux industriels. Cette méthodologie, désormais validée et qui pourra être déployée dès les prochains jours, permet d'identifier par une démarche rigoureuse tous les substituts possibles aux néonicotinoïdes, en fonction des cultures à protéger et des nuisibles à écarter » continue le texte.
Un travail titanesque pour l’Anses qui doit regarder cas par cas les alternatives possibles aux insecticides à proposer aux exploitants et aux industriels. « Ségolène Royal rappelle par ailleurs que l'action de la France sur les néonicotinoïdes permet de faire avancer les actions au niveau européen. Ainsi, elle prend note avec intérêt du projet de la Commission européenne, présenté aux Etats-membres ce jeudi 23 mars, d'élargir les restrictions d'usages des néonicotinoïdes au niveau européen » lit-on plus loin.
Comme toutes les décisions liées aux produits chimiques utilisés par des professionnels, la suppression doit être suivie de solutions fiables d’alternatives. « Pour accompagner cette interdiction le gouvernement a chargé l'Anses d'identifier les substituts possibles aux néonicotinoïdes pour tous les usages, de vérifier leur efficacité ainsi que leur viabilité (technique et financière) et les éventuels points d'attention sur leur impact environnemental ou sanitaire » explique ainsi le ministère de l’Environnement dans un communiqué.
A l’occasion de la publication d’un rapport par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses) le gouvernement veut montrer que la suppression de ces substances ne va pas pénaliser les producteurs. « Il s'agit d'une méthode d'identification des substituts innovante mise en place par l'Anses, et établie en faisant appel à de nombreux experts, aux agriculteurs et aux industriels. Cette méthodologie, désormais validée et qui pourra être déployée dès les prochains jours, permet d'identifier par une démarche rigoureuse tous les substituts possibles aux néonicotinoïdes, en fonction des cultures à protéger et des nuisibles à écarter » continue le texte.
Un travail titanesque pour l’Anses qui doit regarder cas par cas les alternatives possibles aux insecticides à proposer aux exploitants et aux industriels. « Ségolène Royal rappelle par ailleurs que l'action de la France sur les néonicotinoïdes permet de faire avancer les actions au niveau européen. Ainsi, elle prend note avec intérêt du projet de la Commission européenne, présenté aux Etats-membres ce jeudi 23 mars, d'élargir les restrictions d'usages des néonicotinoïdes au niveau européen » lit-on plus loin.