Source : Pixabay, image libre de droits
Dans l’imaginaire collectif, les grandes surfaces sont surtout connues pour acheter à vil prix aux petits producteurs. Géants de la consommation, ils sont vu comme des champions des petits prix aux dépends des producteurs de tous les secteurs. A tel point que depuis des années, des boutiques, marchands et concepts de vente directs pullulent et rencontre un franc succès qui commence à inquiéter les grandes enseignes.
Un article du quotidien Le Parisien / Aujourd’hui en France s’est penché sur cette question et plus précisément sur la réaction de la grande distribution qui cherche à changer d’image. Boutiques bio, marketing éthique et slogans environnementaux, les choses bougent dans les grandes surfaces. « Au premier semestre 2017, les ventes de produits alimentaires issus de l’agriculture biologique ont ainsi bondi de 500 millions d’euros en France. En 2016, le réseau de magasins coopératifs Biocoop a vu son chiffre d’affaires croître de 25 % et a ouvert plus de 50 nouveaux supermarchés. Les Amap (Associations pour le maintien d’une agriculture paysanne) foisonnent sur tout le territoire, et la vente directe bio et traditionnelle des producteurs aux consommateurs a progressé de plus de 15 % l’an dernier. Les clients se détournent des temples qu’étaient les hypermarchés pour trouver de nouveaux points de ravitaillement qu’ils jugent plus équitables, plus sains, plus sûrs... » résume Le Parisien.
Les petits acteurs menacent les gros en installant de nouveaux critères de consommation. Les grandes enseignes tentent donc de réagir avec des grandes annonces d’engagement RSE. « Depuis 2014, Intermarché réhabilite les « légumes moches » et lutte contre le gaspillage. Le groupe Casino a récemment racheté les magasins Naturalia et en a fait les premiers points de vente 100 % vegan de France. Carrefour, de son côté, s’est offert Greenweez, le numéro 1 des ventes de produits bio sur Internet, tout comme Amazon a racheté cet été Whole Foods Market, le géant des supermarchés bio aux Etats-Unis » nous apprend le quotidien. Un repositionnement stratégique qui interroge forcément sur les intentions des supermarchés. A la suite du Parisien on peut légitimement se demander « Marketing opportuniste ou véritable changement de cap ? »
Lire ici en intégralité l’article sur le site du journal Le Parisien
Un article du quotidien Le Parisien / Aujourd’hui en France s’est penché sur cette question et plus précisément sur la réaction de la grande distribution qui cherche à changer d’image. Boutiques bio, marketing éthique et slogans environnementaux, les choses bougent dans les grandes surfaces. « Au premier semestre 2017, les ventes de produits alimentaires issus de l’agriculture biologique ont ainsi bondi de 500 millions d’euros en France. En 2016, le réseau de magasins coopératifs Biocoop a vu son chiffre d’affaires croître de 25 % et a ouvert plus de 50 nouveaux supermarchés. Les Amap (Associations pour le maintien d’une agriculture paysanne) foisonnent sur tout le territoire, et la vente directe bio et traditionnelle des producteurs aux consommateurs a progressé de plus de 15 % l’an dernier. Les clients se détournent des temples qu’étaient les hypermarchés pour trouver de nouveaux points de ravitaillement qu’ils jugent plus équitables, plus sains, plus sûrs... » résume Le Parisien.
Les petits acteurs menacent les gros en installant de nouveaux critères de consommation. Les grandes enseignes tentent donc de réagir avec des grandes annonces d’engagement RSE. « Depuis 2014, Intermarché réhabilite les « légumes moches » et lutte contre le gaspillage. Le groupe Casino a récemment racheté les magasins Naturalia et en a fait les premiers points de vente 100 % vegan de France. Carrefour, de son côté, s’est offert Greenweez, le numéro 1 des ventes de produits bio sur Internet, tout comme Amazon a racheté cet été Whole Foods Market, le géant des supermarchés bio aux Etats-Unis » nous apprend le quotidien. Un repositionnement stratégique qui interroge forcément sur les intentions des supermarchés. A la suite du Parisien on peut légitimement se demander « Marketing opportuniste ou véritable changement de cap ? »
Lire ici en intégralité l’article sur le site du journal Le Parisien