François Hollande avait parlé de « Airbus de l’énergie » et des projets, soutenus par l’Elysée avaient été mis en avant. Cette grande entreprise ne verra finalement pas le jour. « Nous n’avons pas la même situation en France et en Allemagne. Nous n’avons pas fait nécessairement les mêmes choix depuis des années. Et pourtant nous sommes en total accord pour mener une transition énergétique avec ambition » a expliqué le président français.
Collaboration quand même
Il n’y aura donc ni une usine en commun, ni une fusion EDF-Siemens. À la place, des « partenariats industriels et technologiques » devront favoriser la transition énergétique des deux pays. Les réseaux de transport et le stockage d’électricité, les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique devraient être les quatre axe de ces partenariats.
A défaut de voir arriver une entreprise co-pilotée par les deux pays, une structure commune sera créée. Elle sera issue de la collaboration de l’Ademe et de son équivalent allemand dena. Elle sera chargée de piloter les missions et actions conjointes des deux pays.
Par ailleurs, la Caisse des dépôts et la banque publique d’investissement allemande KfW vont se concerter pour coopérer sur les questions de financement. D’après le président français, elles devront présenter avant l’été des « propositions de soutien au renforcement à la transition énergétique, et en particulier de l’efficacité énergétique ». Un groupe de travail bilatéral sera aussi mis en place pour créer une dynamique forte d’entrainement de l’UE. Il aura pour but de tracer un cadre européen « ambitieux pour l’énergie et le climat à l’horizon 2030. »
Enfin, le projet de taxe européenne sur les transactions financières pourrait être relancé par le tandem Paris-Berlin. Elle financerait un Fonds vert et, d’après François Hollande, les deux pays « ont la volonté d’aboutir avant les élections européennes » dans ce dossier.
A défaut de voir arriver une entreprise co-pilotée par les deux pays, une structure commune sera créée. Elle sera issue de la collaboration de l’Ademe et de son équivalent allemand dena. Elle sera chargée de piloter les missions et actions conjointes des deux pays.
Par ailleurs, la Caisse des dépôts et la banque publique d’investissement allemande KfW vont se concerter pour coopérer sur les questions de financement. D’après le président français, elles devront présenter avant l’été des « propositions de soutien au renforcement à la transition énergétique, et en particulier de l’efficacité énergétique ». Un groupe de travail bilatéral sera aussi mis en place pour créer une dynamique forte d’entrainement de l’UE. Il aura pour but de tracer un cadre européen « ambitieux pour l’énergie et le climat à l’horizon 2030. »
Enfin, le projet de taxe européenne sur les transactions financières pourrait être relancé par le tandem Paris-Berlin. Elle financerait un Fonds vert et, d’après François Hollande, les deux pays « ont la volonté d’aboutir avant les élections européennes » dans ce dossier.