(Wikimedia)
Dans le cadre de l’édition 2014 de la compétition du Solar Décathlon, vingt maisons à énergie positive sont exposées à Versailles depuis près de deux semaines. Il s’agit d’un concours universitaire international qui voit s'affronter pas moins de 800 apprentis architectes et ingénieurs, venus de 16 pays et trois continents différents. Lancée en 2002 par le département de l’Energie américaine, la compétition se déroule en Europe chaque année paire et donc en France cette année. Le grand vainqueur du concours sera connu le 12 juillet.
L'ensemble des prototypes sur lesquels les étudiants ont travaillé durant deux ans s'organisent autour d'un objectif commun : réduire les besoins en énergie. « La technologie, nous l'avons ; c'est un acquis », explique Pascal Rollet, directeur de la compétition. « Nous avons donc souhaité favoriser la sobriété plutôt que la production ». Chaque projet architectural devait ainsi répondre à six critères bien définis : la densité, la mobilité, l'innovation, la sobriété énergétique, l'accessibilité financière et la contextualisation du projet dans son environnement d'origine.
De nombreux participants ont proposé des solutions pour faire face aux catastrophes naturelles qui concernent leurs territoires : les Japonais ont ainsi bâti une structure supportant les secousses et les tsunamis et les Thaïlandais ont travaillé sur un pavillon capable de résister pendant trois jours aux fortes inondations. La notion de densification urbaine a également été étudiée dans de nombreux prototypes, notamment avec l'extension des toitures imaginée pour gagner en surface. Concernant l'énergie, le stockage par batterie et la mixité de matériaux ont été exploités par nombre d'étudiants.
A noter que les votes sont ouverts à tous sur le site Internet du Solar Decathlon, accessible via le lien suivant : www.solardecathlon2014.fr/votez.
L'ensemble des prototypes sur lesquels les étudiants ont travaillé durant deux ans s'organisent autour d'un objectif commun : réduire les besoins en énergie. « La technologie, nous l'avons ; c'est un acquis », explique Pascal Rollet, directeur de la compétition. « Nous avons donc souhaité favoriser la sobriété plutôt que la production ». Chaque projet architectural devait ainsi répondre à six critères bien définis : la densité, la mobilité, l'innovation, la sobriété énergétique, l'accessibilité financière et la contextualisation du projet dans son environnement d'origine.
De nombreux participants ont proposé des solutions pour faire face aux catastrophes naturelles qui concernent leurs territoires : les Japonais ont ainsi bâti une structure supportant les secousses et les tsunamis et les Thaïlandais ont travaillé sur un pavillon capable de résister pendant trois jours aux fortes inondations. La notion de densification urbaine a également été étudiée dans de nombreux prototypes, notamment avec l'extension des toitures imaginée pour gagner en surface. Concernant l'énergie, le stockage par batterie et la mixité de matériaux ont été exploités par nombre d'étudiants.
A noter que les votes sont ouverts à tous sur le site Internet du Solar Decathlon, accessible via le lien suivant : www.solardecathlon2014.fr/votez.