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Le constat n’est pas nouveau mais la découverte est tout de même cruciale. Une nouvelle étude menée par des chercheurs de l’Inserm, du CNRS et de l’Université de Grenoble montrent que la pollution peut avoir des effets dramatiques sur les bébés pas encore nés. « Regroupés au sein de l’Institut pour l’avancée des biosciences, les chercheurs ont analysé les conséquences d’une exposition à la pollution de l’air in utero et en sont venus à la conclusion que celle-ci était associée à des modifications épigénétiques au niveau du placenta. Ce qui peut présenter un risque pour le fœtus » rapporte le site.
La pollution atmosphérique, et en particulier celle au dioxyde d’azote affecte la santé des enfants avant même qu’ils ne soient venus au monde. C’est ce que met en lumière une nouvelle étude menée par des chercheurs de l’Inserm, du CNRS et de l’Université Grenoble Alpes. Regroupés au sein de l’Institut pour l’avancée des biosciences, les chercheurs ont analysé les conséquences d’une exposition à la pollution de l’air in utero et en sont venus à la conclusion que celle-ci était associée à des modifications épigénétiques au niveau du placenta. Ce qui peut présenter un risque pour le fœtus » explique le site Pourquoi Docteur.
En étudiant les cas de 668 mères et leurs bébés, les chercheurs ont observé la corrélation entre l’exposition au dioxyde d’azote et la modification du gène ADORA2B. Par ailleurs, les résultats sont d’autant plus inquiétants que les niveaux de pollutions auxquels ont été exposées les femmes enceintes étaient en dessous du seuil de 40mg/m3 fixé par l’Union européenne. « Comme le révélait une autre étude en janvier dernier, la pollution affecterait également l'ADN des bébés avant leur naissance. Publiée dans Environment International, cette recherche consistait à examiner l'ADN du sang du cordon ombilical des nouveau-nés nés à Tongliang, en Chine, avant et après la fermeture d'une centrale au charbon en 2004 » précise Pourquoi Docteur.
La pollution atmosphérique, et en particulier celle au dioxyde d’azote affecte la santé des enfants avant même qu’ils ne soient venus au monde. C’est ce que met en lumière une nouvelle étude menée par des chercheurs de l’Inserm, du CNRS et de l’Université Grenoble Alpes. Regroupés au sein de l’Institut pour l’avancée des biosciences, les chercheurs ont analysé les conséquences d’une exposition à la pollution de l’air in utero et en sont venus à la conclusion que celle-ci était associée à des modifications épigénétiques au niveau du placenta. Ce qui peut présenter un risque pour le fœtus » explique le site Pourquoi Docteur.
En étudiant les cas de 668 mères et leurs bébés, les chercheurs ont observé la corrélation entre l’exposition au dioxyde d’azote et la modification du gène ADORA2B. Par ailleurs, les résultats sont d’autant plus inquiétants que les niveaux de pollutions auxquels ont été exposées les femmes enceintes étaient en dessous du seuil de 40mg/m3 fixé par l’Union européenne. « Comme le révélait une autre étude en janvier dernier, la pollution affecterait également l'ADN des bébés avant leur naissance. Publiée dans Environment International, cette recherche consistait à examiner l'ADN du sang du cordon ombilical des nouveau-nés nés à Tongliang, en Chine, avant et après la fermeture d'une centrale au charbon en 2004 » précise Pourquoi Docteur.