Source : Pixabay, image libre de droits.
Dans un communiqué de presse, l’ONG annonce avoir lancé « une pétition adressée à Vincent Bolloré » et avoir mené différentes actions dans les rues de Paris en février autour des autolib, ces fameuses voitures électriques en libre service, chères à l’homme d’affaires : le communiqué précise ainsi que « plus de 300 véhicules ont été ‘décorés’ dans la nuit de lundi à mardi dans tout Paris. »
De plus, le rapport sur les plantations de la Socfin souligne que « les projets d’expansion de ces plantations dans une dizaine de pays, majoritairement africains, menacent des forêts denses, écosystèmes indispensables à la préservation des équilibres climatiques, à la sauvegarde de la biodiversité ainsi qu’au maintien des conditions de vie des populations locales. »
De plus, le rapport sur les plantations de la Socfin souligne que « les projets d’expansion de ces plantations dans une dizaine de pays, majoritairement africains, menacent des forêts denses, écosystèmes indispensables à la préservation des équilibres climatiques, à la sauvegarde de la biodiversité ainsi qu’au maintien des conditions de vie des populations locales. »
Le groupe Bolloré, responsable selon Greenpeace
Le communiqué de Greenpeace explique que « les plantations de palmiers à huile et d’hévéas constituent l’un des principaux moteurs de la déforestation », ajoutant que « l’Afrique ne représente encore qu’un faible pourcentage de la production au niveau mondial, mais on assiste actuellement à une véritable ruée sur les forêts africaines. »
Au premier rang des planteurs en Afrique : la Socfin, qui est « présente depuis plus d’un siècle sur le continent, avec comme principaux actionnaires le groupe Bolloré et l’homme d’affaires belge Hubert Fabri. »
Dans ce rapport, de nouvelles investigations de Greenpeace France, en République démocratique du Congo et à Sao Tomé-et-Principe « démontrent que les concessions de la Socfin incluent des forêts primaires, mais aussi des forêts secondaires ou en régénération qui stockent d’importantes quantités de carbone. »
Cécile Leuba, chargée de campagne pour Greenpeace France, constate : « certaines concessions jouxtent des écosystèmes uniques comme à Sao Tomé où les plantations de la Socfin s’étendent au sein de la zone tampon d’un Parc Naturel national. Or, contrairement à ses principaux concurrents du secteur de l’huile de palme, la Socfin n’a pas de politique visant à empêcher la déforestation dans ses projets. »
Comme annoncé dans son communiqué, pour Greenpeace France, « Vincent Bolloré doit user de son influence pour que la Socfin s’engage immédiatement sur une politique de plantation zéro déforestation crédible et respectueuse des droits des communautés locales. »
Céline Leuba termine : « Notre objectif est que les forêts africaines ne connaissent pas le sort des forêts indonésiennes et malaisiennes. Les investisseurs doivent s’engager dès aujourd’hui à adopter des politiques zéro déforestation et le Groupe Bolloré ne peut pas se dédouaner de sa responsabilité à l’égard des pratiques de la Socfin. »
Au premier rang des planteurs en Afrique : la Socfin, qui est « présente depuis plus d’un siècle sur le continent, avec comme principaux actionnaires le groupe Bolloré et l’homme d’affaires belge Hubert Fabri. »
Dans ce rapport, de nouvelles investigations de Greenpeace France, en République démocratique du Congo et à Sao Tomé-et-Principe « démontrent que les concessions de la Socfin incluent des forêts primaires, mais aussi des forêts secondaires ou en régénération qui stockent d’importantes quantités de carbone. »
Cécile Leuba, chargée de campagne pour Greenpeace France, constate : « certaines concessions jouxtent des écosystèmes uniques comme à Sao Tomé où les plantations de la Socfin s’étendent au sein de la zone tampon d’un Parc Naturel national. Or, contrairement à ses principaux concurrents du secteur de l’huile de palme, la Socfin n’a pas de politique visant à empêcher la déforestation dans ses projets. »
Comme annoncé dans son communiqué, pour Greenpeace France, « Vincent Bolloré doit user de son influence pour que la Socfin s’engage immédiatement sur une politique de plantation zéro déforestation crédible et respectueuse des droits des communautés locales. »
Céline Leuba termine : « Notre objectif est que les forêts africaines ne connaissent pas le sort des forêts indonésiennes et malaisiennes. Les investisseurs doivent s’engager dès aujourd’hui à adopter des politiques zéro déforestation et le Groupe Bolloré ne peut pas se dédouaner de sa responsabilité à l’égard des pratiques de la Socfin. »