Source : Pixabay, image libre de droits.
Peu perturbée par les activités économiques humaines (exploitation forestière industrielle, infrastructures, etc.), la forêt de Dvinsky y demeure assez grande pour maintenir en son sein une grande biodiversité.Mais ce territoire est aujourd'hui menacé par les activités commerciales des exploitants forestiers.
« Sauvegarder la forêt de Dvinsky »
En 2001, Greenpeace lançait une campagne sur l'exploitation forestière en Russie, dans l'optique notamment de sauvegarder la forêt de Dvinsky. Résultat : « plusieurs accords entre les ONG mobilisées et les entreprises forestières en activité sur la zone ont permis de mettre en place un moratoire d'une quinzaine d'années sur les activités en cours dans cet écosystème précieux », explique l’organisation dans un communiqué. En 2011, les autorités régionales ont même inclus des parties de la forêt de Dvinsky sur une liste des futures zones forestières protégées.
Cependant, 5 ans plus tard, la forêt de Dvinsky n'est toujours pas officiellement protégée. Les entreprises forestières et les lobbyistes industriels essaient de se retirer de cet accord : selon Greenpeace, « ils exercent ainsi une pression constante sur des gouvernements locaux et régionaux aujourd'hui incapables de leur tenir tête. »
Tant et si bien que les principales entreprises présentes sur le terrain, à savoir Arkhangelsk Pulp & Paper Mill, ICE Titan, Solombales ou encore Region-Les LLC, « recommencent à ruiner impunément la forêt de Dvinsky. »
Greenpeace ajoute qu’en Russie, les lois forestières en vigueur « ne protègent pas correctement l'environnement et autorisent toujours une exploitation non durable des ressources naturelles. » L’organisation plaide donc en faveur d’une réforme significative de la part du gouvernement, auquel cas « la forêt de Dvinsky aura disparu d'ici à dix ans ».
Cependant, 5 ans plus tard, la forêt de Dvinsky n'est toujours pas officiellement protégée. Les entreprises forestières et les lobbyistes industriels essaient de se retirer de cet accord : selon Greenpeace, « ils exercent ainsi une pression constante sur des gouvernements locaux et régionaux aujourd'hui incapables de leur tenir tête. »
Tant et si bien que les principales entreprises présentes sur le terrain, à savoir Arkhangelsk Pulp & Paper Mill, ICE Titan, Solombales ou encore Region-Les LLC, « recommencent à ruiner impunément la forêt de Dvinsky. »
Greenpeace ajoute qu’en Russie, les lois forestières en vigueur « ne protègent pas correctement l'environnement et autorisent toujours une exploitation non durable des ressources naturelles. » L’organisation plaide donc en faveur d’une réforme significative de la part du gouvernement, auquel cas « la forêt de Dvinsky aura disparu d'ici à dix ans ».