Parmi les sociétés de gestion proposant ces fonds labellisés on trouve des grands acteurs Français tels que BNP Paribas Asset Management, mais aussi des gestionnaires d’actifs mondiaux comme BlackRock. Ce dernier a en effet annoncé au mois de décembre avoir obtenu le label ISR pour trois nouveaux fonds en France, ce qui porte à 19 le total des fonds du groupe de gestion d’actifs labellisés ISR, représentant 45 milliards d’actifs sous gestion, selon un communiqué du groupe.
Alors que les épargnants cherchent à donner plus de sens à leur investissements, en se tournant notamment vers des fonds thématiques, BlackRock étoffe sa gamme en proposant des fonds labellisés liés aux thèmes de la nutrition (Le BGF Nutrition Fund se focalise sur les investissements « dans des sociétés enclines à profiter des tendances émergentes au sein de la chaîne de valeur alimentaire, actuellement sous estimées par le marché », tout en restant attentif à l’impact carbone de l’agro-alimentaire) et de l’économie circulaire (le BGF Circular Economy Fund, en partenariat avec la Fondation Ellen MacArthur, vise à « identifier les entreprises qui progressent dans la lutte contre le changement climatique, la réduction de la biodiversité et la pollution plastique ).
Créé par le ministère de l’Economie et des Finances, le label ISR permet aux investisseurs d’identifier des fonds d’investissement faisant le choix de privilégier des investissements socialement responsables, mesurables à l’aune de résultats concrets. Parfois critiqué, car jugé trop flou dans ses objectifs, le label ISR devrait être réformé en 2022 pour rendre ses offres plus lisibles pour les investisseurs.
Pour nombre d’épargnants, le label ISR est toutefois considéré comme un outil important pour investir sur la transition climatique avec une reconnaissance du fait que cette transition doit accompagner la reconversion de secteurs entiers de l’économie et de leurs travailleurs. Certaines entreprises des secteurs pétrolier et gazier, peuvent ainsi être intégrées à des fonds ISR dans une démarche dite « best in class » visant non pas à exclure des secteurs dans leur intégralité mais sélectionner au sein d’un fonds, les entreprises ayant les notations extra-financières les plus élevées au sein de leur branche, si elles démontrent des actions concrètes pour faire évoluer positivement leur modèle économique.
D’autres chantiers en cours, notamment la taxonomie verte Européenne et le sujet de ls standardisation des données ISR, nourriront certainement la refonte du label. 2022 promet d’être une année riche en actualités pour la finance durable.
Alors que les épargnants cherchent à donner plus de sens à leur investissements, en se tournant notamment vers des fonds thématiques, BlackRock étoffe sa gamme en proposant des fonds labellisés liés aux thèmes de la nutrition (Le BGF Nutrition Fund se focalise sur les investissements « dans des sociétés enclines à profiter des tendances émergentes au sein de la chaîne de valeur alimentaire, actuellement sous estimées par le marché », tout en restant attentif à l’impact carbone de l’agro-alimentaire) et de l’économie circulaire (le BGF Circular Economy Fund, en partenariat avec la Fondation Ellen MacArthur, vise à « identifier les entreprises qui progressent dans la lutte contre le changement climatique, la réduction de la biodiversité et la pollution plastique ).
Créé par le ministère de l’Economie et des Finances, le label ISR permet aux investisseurs d’identifier des fonds d’investissement faisant le choix de privilégier des investissements socialement responsables, mesurables à l’aune de résultats concrets. Parfois critiqué, car jugé trop flou dans ses objectifs, le label ISR devrait être réformé en 2022 pour rendre ses offres plus lisibles pour les investisseurs.
Pour nombre d’épargnants, le label ISR est toutefois considéré comme un outil important pour investir sur la transition climatique avec une reconnaissance du fait que cette transition doit accompagner la reconversion de secteurs entiers de l’économie et de leurs travailleurs. Certaines entreprises des secteurs pétrolier et gazier, peuvent ainsi être intégrées à des fonds ISR dans une démarche dite « best in class » visant non pas à exclure des secteurs dans leur intégralité mais sélectionner au sein d’un fonds, les entreprises ayant les notations extra-financières les plus élevées au sein de leur branche, si elles démontrent des actions concrètes pour faire évoluer positivement leur modèle économique.
D’autres chantiers en cours, notamment la taxonomie verte Européenne et le sujet de ls standardisation des données ISR, nourriront certainement la refonte du label. 2022 promet d’être une année riche en actualités pour la finance durable.