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Il y a des leçons à tirer de la crise sanitaire, économique et sociale. Seront-elles tirées et comment restent les questions qui se vont se poser durant les prochains mois. Parmi les engagements, on attend beaucoup des entreprises, pour qu’elles prennent leur part de responsabilité dans les grands virages qui sont voulus par beaucoup. Mardi 12 mai, L’Oréal a fait un premier pas dans cette direction en annonçant que 150 millions d’euros allaient être dépensés.
« Le groupe va consacrer 100 millions d’euros à des investissements à impact social pour « contribuer à la régénération des écosystèmes naturels endommagés et à la lutte contre le changement climatique ». A ce titre, le fabricant de produits cosmétiques entend financer des projets de restauration d’écosystèmes marins et forestiers. « D’ici à 2030, l’objectif vise la restauration d’un million d’hectares dégradés, la capture de 15 millions à 20 millions de tonnes de CO2, et la création de plusieurs centaines d’emplois », explique Alexandra Palt, directrice générale de la responsabilité sociétale et environnementale au sein de la Fondation L’Oréal. Le groupe, figure du CAC 40, financera aussi des projets liés à l’économie circulaire, notamment en matière de recyclage et de gestion des déchets plastiques » nous apprend Le Monde .
Le patron du groupe faisait partie des signataires de la lettre ouverte pour la relance verte après la crise du Covid-19. Cette annonce est ainsi la concrétisation de ce vœu pieux qui a été formulé par 180 signataires, décideurs du monde économique. Alors que le Medef et l’AFEP ont plaidé auprès du gouvernement et de l’Union européenne pour que les contraintes environnementales soient revues à la baisse pour ne pas empêcher la reprise économique, les engagements des grosses entreprises dans une relance verte sont fondamentaux. Elles doivent permettre de créer un mouvement et une dynamique économique générale qui pour que les petites structures voient des opportunités à s’aligner sur les investissements vertueux qui doivent créer emplois et richesses.
« Le groupe va consacrer 100 millions d’euros à des investissements à impact social pour « contribuer à la régénération des écosystèmes naturels endommagés et à la lutte contre le changement climatique ». A ce titre, le fabricant de produits cosmétiques entend financer des projets de restauration d’écosystèmes marins et forestiers. « D’ici à 2030, l’objectif vise la restauration d’un million d’hectares dégradés, la capture de 15 millions à 20 millions de tonnes de CO2, et la création de plusieurs centaines d’emplois », explique Alexandra Palt, directrice générale de la responsabilité sociétale et environnementale au sein de la Fondation L’Oréal. Le groupe, figure du CAC 40, financera aussi des projets liés à l’économie circulaire, notamment en matière de recyclage et de gestion des déchets plastiques » nous apprend Le Monde .
Le patron du groupe faisait partie des signataires de la lettre ouverte pour la relance verte après la crise du Covid-19. Cette annonce est ainsi la concrétisation de ce vœu pieux qui a été formulé par 180 signataires, décideurs du monde économique. Alors que le Medef et l’AFEP ont plaidé auprès du gouvernement et de l’Union européenne pour que les contraintes environnementales soient revues à la baisse pour ne pas empêcher la reprise économique, les engagements des grosses entreprises dans une relance verte sont fondamentaux. Elles doivent permettre de créer un mouvement et une dynamique économique générale qui pour que les petites structures voient des opportunités à s’aligner sur les investissements vertueux qui doivent créer emplois et richesses.