L’étude de l’ADEME s’est intéressée aux véhicules citadins et utilitaires légers. Le rapport remet en question le tout électrique ou du moins invite à réfléchir à son optimisation.
D’après ses rédacteurs, il est plus judicieux de considérer l’efficacité énergétique de l’électrique en incluant l’impact de la production d’énergie et des matériaux. Si l’on considère l’ensemble du cycle de vie des deux types de véhicules le thermique (essence et diesel), les bilans énergétiques sont sensiblement les mêmes.
D’après ses rédacteurs, il est plus judicieux de considérer l’efficacité énergétique de l’électrique en incluant l’impact de la production d’énergie et des matériaux. Si l’on considère l’ensemble du cycle de vie des deux types de véhicules le thermique (essence et diesel), les bilans énergétiques sont sensiblement les mêmes.
Réduction de l’impact énergétique de l’électrique
Le rapport n’est pas un plaidoyer pour l’arrêt du développement de l’électrique. Il cherche avant tout à rappeler que la démarche doit être globale et à tous le niveaux. L’ADEME, explique que les actions visant à augmenter la part des voitures électriques dans le parc automobile français n’ont de sens que si elles sont accompagnées du développement de la production renouvelable de l’électricité.
En parallèle, l’impact environnemental des batteries des véhicules électriques doit être limité. Pour ce faire il faut agir au niveau de leur production, de leur utilisation et de leur fin de vie. Le rapport invite à privilégier la recherche dans le domaine de la durée de vie des batteries mais aussi sur des techniques de recyclage plus efficaces.
Pour mettre en place ces directions générales il faudrait, d’après l’institution, s’engager sur le développement des « Smart Grids », réseaux intelligents, qui pourraient empêcher les pics de consommation qui pourraient se multiplier à cause de la recharge des véhicules.
Le développement plus rapide du parc automobile électrique doit être favoriser. L’augmentation de la production aurait un impact positif sur les coûts puis sur la R&D des batteries. La mise en circulation de flottes de véhicules utilitaires, les entreprises pourraient largement contribuer à ce dernier point.
Enfin, la conception de véhicules citadins plus légers et moins puissants pourrait permettre d’équiper un nombre grandissant de voitures de batteries plus petites et donc moins énergivores.
Voir les conclusions de l'étude ici
En parallèle, l’impact environnemental des batteries des véhicules électriques doit être limité. Pour ce faire il faut agir au niveau de leur production, de leur utilisation et de leur fin de vie. Le rapport invite à privilégier la recherche dans le domaine de la durée de vie des batteries mais aussi sur des techniques de recyclage plus efficaces.
Pour mettre en place ces directions générales il faudrait, d’après l’institution, s’engager sur le développement des « Smart Grids », réseaux intelligents, qui pourraient empêcher les pics de consommation qui pourraient se multiplier à cause de la recharge des véhicules.
Le développement plus rapide du parc automobile électrique doit être favoriser. L’augmentation de la production aurait un impact positif sur les coûts puis sur la R&D des batteries. La mise en circulation de flottes de véhicules utilitaires, les entreprises pourraient largement contribuer à ce dernier point.
Enfin, la conception de véhicules citadins plus légers et moins puissants pourrait permettre d’équiper un nombre grandissant de voitures de batteries plus petites et donc moins énergivores.
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