ILD
En français on dit externalisation socialement responsable. Pour éviter les vilains anglicismes ou l’utilisation de mots anglais au milieu de phrases en français, on ferait bien de l’utiliser pour remplacer petit à petit « Impact sourcing ». Pour l’heure, le concept est bien plus développé chez les anglosaxons. La fondation Rockfeller, rapporte un article publié par BFMBuiness , donne cette définition : « pratique d’inclusion sociale par l’emploi, par laquelle les sociétés donnent du travail à des populations jeunes issues de milieux défavorisés. »
L’idée vient d’une observation assez simple. Les entreprises externalisent de plus en plus certaines de leurs activités et souvent dans des zones du monde défavorisées. En incluant dans les critères de choix du partenaire l’impact social, les entreprises peuvent mêler engagement et efficacité. « L’Impact Sourcing se différencie du sourcing traditionnel (qui consiste à externaliser tout ou partie de l’activité d’une entreprise pour éviter des coûts) grâce à son impact sur la société, en favorisant l’inclusion sociale des personnes les plus éloignées de l’emploi. (…) D’après une étude réalisée par le groupe Everest, les travailleurs de l’Impact Sourcing seraient plus motivés, plus fidèles, et la qualité du travail serait supérieure à celle de l’externalisation traditionnelle » ajoute BFMBusiness.
Il existe des milliers de façons de s’engager dans cette voie. En choisissant de travailler avec des personnes issues de milieux défavorisés en les payant et traitant mieux que le minimum légal ou habituel, les entreprises agissent bien tout en restant largement compétitives. Dans le domaine, les tâches digitales sont un domaine privilégié. « Ce marché de l’externalisation socialement responsable s’élève à 20 milliards de dollars. C’est un marché qui croît bien plus vite que celui de l’externalisation classique avec une croissance annuelle de 25%. Les tâches digitales représentent actuellement 20% de ce marché et vont atteindre 80% de parts de marché en 2020 » précise l’article.
L’idée vient d’une observation assez simple. Les entreprises externalisent de plus en plus certaines de leurs activités et souvent dans des zones du monde défavorisées. En incluant dans les critères de choix du partenaire l’impact social, les entreprises peuvent mêler engagement et efficacité. « L’Impact Sourcing se différencie du sourcing traditionnel (qui consiste à externaliser tout ou partie de l’activité d’une entreprise pour éviter des coûts) grâce à son impact sur la société, en favorisant l’inclusion sociale des personnes les plus éloignées de l’emploi. (…) D’après une étude réalisée par le groupe Everest, les travailleurs de l’Impact Sourcing seraient plus motivés, plus fidèles, et la qualité du travail serait supérieure à celle de l’externalisation traditionnelle » ajoute BFMBusiness.
Il existe des milliers de façons de s’engager dans cette voie. En choisissant de travailler avec des personnes issues de milieux défavorisés en les payant et traitant mieux que le minimum légal ou habituel, les entreprises agissent bien tout en restant largement compétitives. Dans le domaine, les tâches digitales sont un domaine privilégié. « Ce marché de l’externalisation socialement responsable s’élève à 20 milliards de dollars. C’est un marché qui croît bien plus vite que celui de l’externalisation classique avec une croissance annuelle de 25%. Les tâches digitales représentent actuellement 20% de ce marché et vont atteindre 80% de parts de marché en 2020 » précise l’article.