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Un grand nombre d’initiatives « green » voient le jour en marge de la COP21.
Un article en ligne du journal Le Point souligne l’importance de ces initiatives qui tentent d’apporter une « réponse technologique au réchauffement climatique »
Un article en ligne du journal Le Point souligne l’importance de ces initiatives qui tentent d’apporter une « réponse technologique au réchauffement climatique »
« Agir sur le temps long »
L’article du Point explique qu’ « en marge de la COP21, une vingtaine de milliardaires, emmenés par Bill Gates, se sont fixé comme objectif de trouver une réponse technologique au réchauffement climatique », ajoutant que « Mark Zuckerberg (Facebook), Jeff Bezos (Amazon), Jack Ma (Alibaba), ou encore Xavier Niel (Iliad) ont rejoint le co-créateur de Microsoft. »
Leur idée, précise l’article, est de « créer un fonds pour aider financièrement les start-up qui ont besoin de temps pour arriver à des percées scientifiques permettant de changer réellement la donne climatique. Bref, agir sur le temps long, et ne pas limiter au plus rentable à court terme. »
L’article poursuit, assurant qu’il s’agit là d’une « très bonne idée à condition de ne pas s'appuyer uniquement sur les grandes universités ou entreprises occidentales. Ainsi, le Tanzanien Askwar Hilonga, spécialiste des nanotechnologies à l'Institut africain Nelson-Mandela pour les sciences et les technologies d'Arusha, a déjà mis au point un filtre à eau potable particulièrement utile, dans un pays où 70 % de la population n'a pas accès à l'eau potable. Comme on peut le voir dans #TECH24, l'émission high-tech de France 24 présentée avec Marjorie Paillon et dont Le Point.fr est partenaire. Askwar Hilonga a d'ailleurs été distingué cette année pour sa découverte. »
Ainsi, « en Afrique du Sud, Vijay Mitha mise, via sa société Shakti Energy, sur l'huile de coude – ou surtout celle de nos jambes – pour recharger, grâce à un pédalo intelligent, les mobiles au large de Johannesburg. De son côté, la Kényane Lorna Rutto transforme les déchets en or. »
Et « alors que Nairobi produit 48 millions de sacs par an, la trentenaire a créé une société, Ecopost, capable de recycler les sacs plastiques en poteaux de clôture, utilisés ensuite dans des fermes. En cinq ans, elle a créé pas moins de 15 emplois, et son usine, ouverte en 2010, est désormais rentable. »
Lire l’intégralité de l’article du Point ici
Leur idée, précise l’article, est de « créer un fonds pour aider financièrement les start-up qui ont besoin de temps pour arriver à des percées scientifiques permettant de changer réellement la donne climatique. Bref, agir sur le temps long, et ne pas limiter au plus rentable à court terme. »
L’article poursuit, assurant qu’il s’agit là d’une « très bonne idée à condition de ne pas s'appuyer uniquement sur les grandes universités ou entreprises occidentales. Ainsi, le Tanzanien Askwar Hilonga, spécialiste des nanotechnologies à l'Institut africain Nelson-Mandela pour les sciences et les technologies d'Arusha, a déjà mis au point un filtre à eau potable particulièrement utile, dans un pays où 70 % de la population n'a pas accès à l'eau potable. Comme on peut le voir dans #TECH24, l'émission high-tech de France 24 présentée avec Marjorie Paillon et dont Le Point.fr est partenaire. Askwar Hilonga a d'ailleurs été distingué cette année pour sa découverte. »
Ainsi, « en Afrique du Sud, Vijay Mitha mise, via sa société Shakti Energy, sur l'huile de coude – ou surtout celle de nos jambes – pour recharger, grâce à un pédalo intelligent, les mobiles au large de Johannesburg. De son côté, la Kényane Lorna Rutto transforme les déchets en or. »
Et « alors que Nairobi produit 48 millions de sacs par an, la trentenaire a créé une société, Ecopost, capable de recycler les sacs plastiques en poteaux de clôture, utilisés ensuite dans des fermes. En cinq ans, elle a créé pas moins de 15 emplois, et son usine, ouverte en 2010, est désormais rentable. »
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