Photo d'illustration, libre de droit, Pixabay
« Il y a deux ans, Engie avait redéfini sa stratégie. Il voulait devenir « leader de la transition énergétique en Europe et premier producteur d’énergie indépendant dans les pays émergents ». Aujourd’hui, face à la dégradation accélérée de ses marchés traditionnels, il simplifie la proposition » résument Les Echos.
Gérard Mestrallet, le PDG du groupe annoncé sur le départ en mai prochain, a annoncé que le virage stratégique du groupe allait s’accélérer.
Gérard Mestrallet, le PDG du groupe annoncé sur le départ en mai prochain, a annoncé que le virage stratégique du groupe allait s’accélérer.
Moins de CO2 pour plus de stabilité
Non seulement les sources d’énergies traditionnelles émettent beaucoup du CO2 mais, les derniers mois l’ont prouvé, elles sont sujettes à des variations de prix qui fragilisent les résultats. « Objectif : se recentrer sur les énergies vertes et les services à l’énergie. Et plus généralement sur les activités aux revenus garantis, comme les infrastructures ou les centrales faisant l’objet de contrats d’achat sur l’électricité produite. « Ces activités doivent représenter dans trois ans 85 % du résultat brut d’exploitation », a indiqué Gérard Mestrallet » lit on dans les colonnes des Echos.
Ainsi, entre 2016 et 2018 les activités liées aux énergies fortement émettrices de CO2 vont être cédées pour un objectif total de 15 milliards de cessions. « Sur ces 15 milliards, environ un tiers a déjà été réalisé et annoncé jeudi : la cession attendue de centrales thermiques aux Etats-Unis (10 gigawatts, pour 4,1 milliards d’euros), et de centrales à charbon en Indonésie et en Inde (3 GW, pour 1,4 milliard). L’ouverture du capital de la filiale du Benelux (Electrabel) est aussi étudiée, mais la décision sera prise « dans les 12 à 18 mois ». »
En parallèle, le groupe prévoit d’investir 22 milliards sur la même période dans le développement des nouvelles activités. Une transition dans la douleur qui démontre la fin d’une époque dans le secteur de l’énergie et la nécessité de se réinventer.
Lire ici l’article des Echo
Ainsi, entre 2016 et 2018 les activités liées aux énergies fortement émettrices de CO2 vont être cédées pour un objectif total de 15 milliards de cessions. « Sur ces 15 milliards, environ un tiers a déjà été réalisé et annoncé jeudi : la cession attendue de centrales thermiques aux Etats-Unis (10 gigawatts, pour 4,1 milliards d’euros), et de centrales à charbon en Indonésie et en Inde (3 GW, pour 1,4 milliard). L’ouverture du capital de la filiale du Benelux (Electrabel) est aussi étudiée, mais la décision sera prise « dans les 12 à 18 mois ». »
En parallèle, le groupe prévoit d’investir 22 milliards sur la même période dans le développement des nouvelles activités. Une transition dans la douleur qui démontre la fin d’une époque dans le secteur de l’énergie et la nécessité de se réinventer.
Lire ici l’article des Echo