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Le renouvelable est aussi une question locale. Durant la décennie 2010, l’engagement environnemental a fait sa grande apparition dans les responsabilités des collectivités. Et à en croire une étude de Ren21, les avancées sont importantes. Le groupe de réflexion parisien spécialisé sur les énergies renouvelables avance ainsi le chiffre de 7 840 villes européennes engagées sur ces questions. Parmi elles, soixante-dix auraient même fixé le 100% renouvelable comme objectif. L’enjeu est de taille puisque plus de la moitié des habitants du monde et les trois quarts des émissions de CO2 sont des citadins.
« Le changement climatique n’est pas le seul moteur de leur intérêt pour les énergies renouvelables. La sécurité énergétique entre en ligne de compte, de même que la volonté de lutter contre la pauvreté énergétique en isolant, par exemple, des immeubles anciens. Les énergies vertes sont aussi perçues comme une source de revenus et d’emplois » rapporte Le Figaro . D’après les éléments clés de l’étude, c’est surtout par le biais des panneaux photovoltaïques que les villes s’engagent.
Le quotidien cite les conclusions de Coalition for Urban Transition il y a quelques semaines : « Il est possible de supprimer 90% des émissions de CO2 des villes. Pour l’ensemble de la planète, cela nécessiterait une dépense annuelle de 1800 milliards de dollars, soit près de 2% du PIB mondial. Mais, grâce en particulier aux gains sur les coûts des énergies, ces investissements rapporteraient 2800 milliards de dollars en 2030 et 7000 milliards en 2050. »
Les villes sont donc un levier clé même si les petites et moyennes estiment souvent que la transition a un coût difficile à supporter. « Beaucoup de cités connaissent mal leur situation énergétique et évaluent mal leur potentiel. Cela complique la mise en œuvre de mesures adaptées » plaide une porte-parole de Ren21.
« Le changement climatique n’est pas le seul moteur de leur intérêt pour les énergies renouvelables. La sécurité énergétique entre en ligne de compte, de même que la volonté de lutter contre la pauvreté énergétique en isolant, par exemple, des immeubles anciens. Les énergies vertes sont aussi perçues comme une source de revenus et d’emplois » rapporte Le Figaro . D’après les éléments clés de l’étude, c’est surtout par le biais des panneaux photovoltaïques que les villes s’engagent.
Le quotidien cite les conclusions de Coalition for Urban Transition il y a quelques semaines : « Il est possible de supprimer 90% des émissions de CO2 des villes. Pour l’ensemble de la planète, cela nécessiterait une dépense annuelle de 1800 milliards de dollars, soit près de 2% du PIB mondial. Mais, grâce en particulier aux gains sur les coûts des énergies, ces investissements rapporteraient 2800 milliards de dollars en 2030 et 7000 milliards en 2050. »
Les villes sont donc un levier clé même si les petites et moyennes estiment souvent que la transition a un coût difficile à supporter. « Beaucoup de cités connaissent mal leur situation énergétique et évaluent mal leur potentiel. Cela complique la mise en œuvre de mesures adaptées » plaide une porte-parole de Ren21.