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Le Maroc s’apprête dans quelques jours à mettre en service la première tranche de sa centrale nucléaire Noor I.
Un article en ligne du journal Les Echos souligne l’importance de ce projet de centrale solaire.
Un article en ligne du journal Les Echos souligne l’importance de ce projet de centrale solaire.
« Un projet gigantesque »
L’article des Echos explique qu’il s’agit d’« un projet gigantesque qui deviendra, si tout se déroule comme prévu, la plus grande centrale solaire au monde : sa capacité atteindra 560 mégawatts (MW), sur une surface équivalente à la ville de Rabat. »
En décembre 2014, « à Tarfaya, en zone saharienne, le royaume a de même inauguré le plus grand parc éolien d’Afrique (300 MW). » Et l’article d’ajouter que « ces deux mégaprojets sont emblématiques : le Maroc affiche d’immenses ambitions dans les énergies renouvelables. La consommation énergétique du pays augmente de 8 % par an depuis dix ans, mais il n’a pas d’autres ressources qu’un soleil et un vent abondants : plus de 95 % de ses besoins sont aujourd’hui couverts par des importations. »
Dès 2009, le Maroc « a érigé les énergies vertes en priorité nationale : elles devront représenter 42 % de la puissance électrique installée en 2020. Le plan prévoit au total 6.000 MW, répartis à parts égales entre le solaire, l’éolien et l’hydraulique. Les projets géants se succèdent et, déjà, le Maroc se prend à rêver d’exportation vers les pays voisins, ou même l’Europe. »
A ces travaux pharaoniques s’ajoutent ceux de « la construction du plus grand projet de centrale à énergie solaire du monde » qui permettra au Maroc « de répondre à la moitié de sa consommation électrique », comme l’explique un article en ligne du site Atlantico.fr. Ce dernier ajoute que « ce projet occupe plus que jamais une place centrale pour le Maroc, qui a l'ambition d'exploiter ses vastes déserts afin de devenir un acteur international incontournable de l'énergie solaire. »
En décembre 2014, « à Tarfaya, en zone saharienne, le royaume a de même inauguré le plus grand parc éolien d’Afrique (300 MW). » Et l’article d’ajouter que « ces deux mégaprojets sont emblématiques : le Maroc affiche d’immenses ambitions dans les énergies renouvelables. La consommation énergétique du pays augmente de 8 % par an depuis dix ans, mais il n’a pas d’autres ressources qu’un soleil et un vent abondants : plus de 95 % de ses besoins sont aujourd’hui couverts par des importations. »
Dès 2009, le Maroc « a érigé les énergies vertes en priorité nationale : elles devront représenter 42 % de la puissance électrique installée en 2020. Le plan prévoit au total 6.000 MW, répartis à parts égales entre le solaire, l’éolien et l’hydraulique. Les projets géants se succèdent et, déjà, le Maroc se prend à rêver d’exportation vers les pays voisins, ou même l’Europe. »
A ces travaux pharaoniques s’ajoutent ceux de « la construction du plus grand projet de centrale à énergie solaire du monde » qui permettra au Maroc « de répondre à la moitié de sa consommation électrique », comme l’explique un article en ligne du site Atlantico.fr. Ce dernier ajoute que « ce projet occupe plus que jamais une place centrale pour le Maroc, qui a l'ambition d'exploiter ses vastes déserts afin de devenir un acteur international incontournable de l'énergie solaire. »