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La transition énergétique a un coût et tous les leviers la favorisant sont les bienvenus. L’annonce d’une plateforme de haut niveau dédiée à l’investissement dans les énergies renouvelables est donc une bonne nouvelle. « À l'occasion du Forum d'investissement pour l'Afrique, organisé aujourd'hui à Johannesbourg par la Banque africaine de développement, l'Union européenne et l'Union africaine ont lancé la plateforme de haut niveau UE-Afrique sur les investissements dans l'énergie durable en Afrique » annonce la Commission européenne par communiqué.
« Dans son discours sur l'état de l'Union, le président Juncker a annoncé la nouvelle «alliance Afrique-Europe pour un investissement et des emplois durables», qui vise à donner un coup de fouet aux investissements en Afrique, à renforcer les échanges commerciaux, à créer des emplois et à investir dans l'éducation et les compétences. La plateforme de haut niveau lancée ce jour représente une action concrète menée dans le cadre de cette alliance pour stimuler les investissements stratégiques et renforcer le rôle du secteur privé » précise le texte.
Une démarche d’autant plus intéressante que sur le continent africain, à quelques nettes exceptions près, il serait irresponsable d’attendre un geste des pouvoirs publics pour engager la transition énergétique. Diplomatiquement, la commissaire Elzbieta Bienkowska a expliqué lors de son déplacement à Johannesbourg que « pour investir réellement dans l'énergie durable en Afrique, nous avons besoin de tout le monde, y compris du secteur privé. La plateforme de haut niveau va préparer le terrain à cet effet: ensemble, des experts des secteurs public, privé, universitaire et financier examineront les problèmes et obstacles en matière d'investissement durable dans ce domaine et contribueront à y remédier.»
A l’occasion du lancement de la plateforme, trois axes principaux ont été mis en avant : « 1) mettre en lumière les investissements énergétiques qui influencent fortement la croissance et la création d'emplois, 2) analyser les risques liés aux investissements énergétiques et proposer des orientations stratégiques pour créer un climat durable propice aux investissements et aux entreprises, et 3) renforcer les échanges entre les secteurs privés africain et européen. »
« Dans son discours sur l'état de l'Union, le président Juncker a annoncé la nouvelle «alliance Afrique-Europe pour un investissement et des emplois durables», qui vise à donner un coup de fouet aux investissements en Afrique, à renforcer les échanges commerciaux, à créer des emplois et à investir dans l'éducation et les compétences. La plateforme de haut niveau lancée ce jour représente une action concrète menée dans le cadre de cette alliance pour stimuler les investissements stratégiques et renforcer le rôle du secteur privé » précise le texte.
Une démarche d’autant plus intéressante que sur le continent africain, à quelques nettes exceptions près, il serait irresponsable d’attendre un geste des pouvoirs publics pour engager la transition énergétique. Diplomatiquement, la commissaire Elzbieta Bienkowska a expliqué lors de son déplacement à Johannesbourg que « pour investir réellement dans l'énergie durable en Afrique, nous avons besoin de tout le monde, y compris du secteur privé. La plateforme de haut niveau va préparer le terrain à cet effet: ensemble, des experts des secteurs public, privé, universitaire et financier examineront les problèmes et obstacles en matière d'investissement durable dans ce domaine et contribueront à y remédier.»
A l’occasion du lancement de la plateforme, trois axes principaux ont été mis en avant : « 1) mettre en lumière les investissements énergétiques qui influencent fortement la croissance et la création d'emplois, 2) analyser les risques liés aux investissements énergétiques et proposer des orientations stratégiques pour créer un climat durable propice aux investissements et aux entreprises, et 3) renforcer les échanges entre les secteurs privés africain et européen. »