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Alors que la trêve hivernale va s’ouvrir, le médiateur national de l’énergie dresse un bilan inquiétant. Il montre que 30% des Français ont baissé leur consommation de chauffage pour des questions de budget. Plus inquiétant encore, 9% des ménages affirment rencontrer des difficultés à régler les factures d’énergies.
Ces chiffres, issus de l’étude d’un échantillon de 1 501 foyers en septembre, montrent bien l’enjeu énergétique pour les personnes les plus fragiles. Avec des conséquences très concrètes puisque 15% des sondés racontent avoir souffert du froid dans leur foyer durant l’hiver précédent. « Depuis le début de l'année, les prix du gaz naturel et du fioul, deux énergies très utilisées pour le chauffage, ont augmenté du fait de la remontée des cours du pétrole. En conséquence, les tarifs réglementés du gaz, appliqués à environ 4,6 millions de foyers et révisés mensuellement, n'ont pas cessé d'augmenter ces derniers mois. Les autres abonnés au gaz ont choisi des offres de marché dont certaines sont à prix fixe sur une période donnée et d'autres indexées sur les tarifs réglementés » contextualise Le Figaro.
Mais l’augmentation du prix du pétrole n’explique pas tout puisque le prix de l’électricité aussi a augmenté avec les tarifs réglementés. Plus d’un demi-million de coupures ou de limitation de puissance ont été enregistrés à cause d’impayés, en dehors de la trêve hivernale. »Cette trêve, qui débute le 1er novembre et s'achève le 31 mars, interdit aux fournisseurs de couper complètement le gaz naturel et l'électricité dans les logements. En revanche, ils peuvent suspendre ou refuser de livrer d'autres énergies, comme le gaz en citerne et le fioul. Les fournisseurs peuvent également continuer de réduire la puissance fournie, sauf aux près de 4 millions de ménages bénéficiaires du chèque énergie. Mais, selon le médiateur, un gros travail est à mener auprès des propriétaires de logements et notamment des bailleurs sociaux pour "faire disparaître les passoires énergétiques", et ainsi réduire les dépenses énergétiques des ménages » conclue Le Figaro.
Ces chiffres, issus de l’étude d’un échantillon de 1 501 foyers en septembre, montrent bien l’enjeu énergétique pour les personnes les plus fragiles. Avec des conséquences très concrètes puisque 15% des sondés racontent avoir souffert du froid dans leur foyer durant l’hiver précédent. « Depuis le début de l'année, les prix du gaz naturel et du fioul, deux énergies très utilisées pour le chauffage, ont augmenté du fait de la remontée des cours du pétrole. En conséquence, les tarifs réglementés du gaz, appliqués à environ 4,6 millions de foyers et révisés mensuellement, n'ont pas cessé d'augmenter ces derniers mois. Les autres abonnés au gaz ont choisi des offres de marché dont certaines sont à prix fixe sur une période donnée et d'autres indexées sur les tarifs réglementés » contextualise Le Figaro.
Mais l’augmentation du prix du pétrole n’explique pas tout puisque le prix de l’électricité aussi a augmenté avec les tarifs réglementés. Plus d’un demi-million de coupures ou de limitation de puissance ont été enregistrés à cause d’impayés, en dehors de la trêve hivernale. »Cette trêve, qui débute le 1er novembre et s'achève le 31 mars, interdit aux fournisseurs de couper complètement le gaz naturel et l'électricité dans les logements. En revanche, ils peuvent suspendre ou refuser de livrer d'autres énergies, comme le gaz en citerne et le fioul. Les fournisseurs peuvent également continuer de réduire la puissance fournie, sauf aux près de 4 millions de ménages bénéficiaires du chèque énergie. Mais, selon le médiateur, un gros travail est à mener auprès des propriétaires de logements et notamment des bailleurs sociaux pour "faire disparaître les passoires énergétiques", et ainsi réduire les dépenses énergétiques des ménages » conclue Le Figaro.