Creative Commons - Pixabay
« Je n’ai pas les moyens d’acheter un premier prix », voilà une réflexion de grand-mère qui prend tout son sens avec l’électroménager. En proposant des appareils de moins en mois chers mais de moins en moins robustes, les marques les moins sérieuses participent à l’immense gâchis écologique. Un coup d’œil sur les décharges à perte de vue aux quatre coins du monde suffit pour convaincre n’importe qui du désastre écologique que représente l’électroménager à bon prix. Si la question de la lutte contre l’obsolescence programmée est un sujet central, la réponse est aussi à apporter du côté des consommateurs. Pour encourager les fabricants à mettre au point des appareils plus robustes et dont la longévité dépasse les quelques années, il faut qu’émerge une cible marketing.
Payé beaucoup plus pour beaucoup mieux est donc la meilleure solution pour lutter contre l’obsolescence programmées des appareils. En effet, prouver qu’une entreprise a délibérément fabriqué un appareil en comptant sur une durée de vie limitée est complexe. D’autant que la fragilité des produits s’explique aussi en grande partie par la rude concurrence avant tout sur les prix et ses conséquences sur les matériaux choisis et les assemblages.
Si l’on ajoute à cette logique, la question des économies d’énergies à l’usage, on peut continuer à répandre l’idée selon laquelle, le prix d’achat ne doit pas être le seul critère. C’est ce que démontre un article du site Belge Moustique qui défend le label de consommation A+++ : « l’étiquette du prix prime toujours sur le label énergétique. Pourtant, c’est un mauvais calcul: considérations budgétaires et environnementales sont tout à fait compatibles. Car le fait d’opter pour un appareil moins “vert” finit par impacter pourtant directement le portefeuille à moyen terme. Une étude française montre ainsi que, sur 11 ans en moyenne, la différence de dépenses en énergie entre une famille équipée d’appareils (aspirateur, ordinateur, sèche-linge, machine à laver, réfrigérateur, lave-vaisselle, TV, ampoules) “peu efficaces” et une famille avec des appareils “efficaces” était interpellante. »
Payé beaucoup plus pour beaucoup mieux est donc la meilleure solution pour lutter contre l’obsolescence programmées des appareils. En effet, prouver qu’une entreprise a délibérément fabriqué un appareil en comptant sur une durée de vie limitée est complexe. D’autant que la fragilité des produits s’explique aussi en grande partie par la rude concurrence avant tout sur les prix et ses conséquences sur les matériaux choisis et les assemblages.
Si l’on ajoute à cette logique, la question des économies d’énergies à l’usage, on peut continuer à répandre l’idée selon laquelle, le prix d’achat ne doit pas être le seul critère. C’est ce que démontre un article du site Belge Moustique qui défend le label de consommation A+++ : « l’étiquette du prix prime toujours sur le label énergétique. Pourtant, c’est un mauvais calcul: considérations budgétaires et environnementales sont tout à fait compatibles. Car le fait d’opter pour un appareil moins “vert” finit par impacter pourtant directement le portefeuille à moyen terme. Une étude française montre ainsi que, sur 11 ans en moyenne, la différence de dépenses en énergie entre une famille équipée d’appareils (aspirateur, ordinateur, sèche-linge, machine à laver, réfrigérateur, lave-vaisselle, TV, ampoules) “peu efficaces” et une famille avec des appareils “efficaces” était interpellante. »