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De la chaleur et de l’activité économique. Il n’en fallait pas plus pour que le Réseau de transport d’électricité (RTE) alerte sur un pic de consommation qui va être enregistré le jeudi 26 juillet. La filiale de EDF prévoit une consommation de 58,1 gigawatts (GW) pour un pic estival de consommation prévu à 13h. La vague de chaleur conjuguée à une activité économique encore soutenue, expliquent cette situation.
Le mécanisme n’est pas aussi évident que pour les vagues de froid l’hiver, mais la démocratisation des climatisations pèse indéniablement. « En hiver, quand la température extérieure chute de 1 °C, la consommation d’électricité bondit de 2 400 mégawatts (MW), soit l’équivalent de deux réacteurs nucléaires et demi. C’est ainsi que RTE avait enregistré le 12 février 2012 un pic historique de la consommation d’électricité, à 102,098 GW. Dorénavant, une même formule s’applique également à la période estivale : lorsque la température extérieure augmente de 1 °C, la consommation électrique fait aussi un bond. À hauteur de 500 MW, soit la moitié d’un réacteur nucléaire » résume Le Parisien-Aujourd’hui en France.
Les entreprises pèsent lourd dans la balance, explique RTE. En effet, malgré les prévisions de vagues de chaleur encore plus intenses en aout, le pic du 26 juillet à 13 heures ne sera pas battu. « En été, et contrairement à l’hiver, la pointe se fait toujours autour de 13 heures. C’est le moment de la journée où tous les climatiseurs ou ventilateurs sont allumés, mais également les machines industrielles, les ordinateurs, auxquels s’ajoutent également les appareils électriques domestiques, comme les réfrigérateurs ou les fours pour le déjeuner » explique un représentant du réseau au quotidien. L’activité économique fonctionnant au ralenti en aout, la consommation ne devrait pas dépasser ce seuil. D’autant, explique RTE, que même en cas de consommation non anticipée, le pays a de la marge avec plus de 60 GW produits aujourd’hui.
Le mécanisme n’est pas aussi évident que pour les vagues de froid l’hiver, mais la démocratisation des climatisations pèse indéniablement. « En hiver, quand la température extérieure chute de 1 °C, la consommation d’électricité bondit de 2 400 mégawatts (MW), soit l’équivalent de deux réacteurs nucléaires et demi. C’est ainsi que RTE avait enregistré le 12 février 2012 un pic historique de la consommation d’électricité, à 102,098 GW. Dorénavant, une même formule s’applique également à la période estivale : lorsque la température extérieure augmente de 1 °C, la consommation électrique fait aussi un bond. À hauteur de 500 MW, soit la moitié d’un réacteur nucléaire » résume Le Parisien-Aujourd’hui en France.
Les entreprises pèsent lourd dans la balance, explique RTE. En effet, malgré les prévisions de vagues de chaleur encore plus intenses en aout, le pic du 26 juillet à 13 heures ne sera pas battu. « En été, et contrairement à l’hiver, la pointe se fait toujours autour de 13 heures. C’est le moment de la journée où tous les climatiseurs ou ventilateurs sont allumés, mais également les machines industrielles, les ordinateurs, auxquels s’ajoutent également les appareils électriques domestiques, comme les réfrigérateurs ou les fours pour le déjeuner » explique un représentant du réseau au quotidien. L’activité économique fonctionnant au ralenti en aout, la consommation ne devrait pas dépasser ce seuil. D’autant, explique RTE, que même en cas de consommation non anticipée, le pays a de la marge avec plus de 60 GW produits aujourd’hui.