« Temps particulièrement clément, progrès dans l’efficacité énergétique ou ralentissement économique ? Eurostat, l’organisme de statistiques européen, ne donne aucun indice sur les causes de la diminution drastique de la consommation d’énergie en Europe, qu’elle pointe dans des statistiques diffusées lundi » commence l’article du quotidien Les Echos.
Dans un article consacré aux résultats publiés par Eurostat, le journal économique s’interroge sur cette nouvelle tendance : les Européens consomment de moins en moins d’électricité. Plus flagrant encore, en 2013, la consommation a atteint un niveau équivalent à celui de 1990. Par ailleurs, en lien avec cette baisse, les pays européens ont importé à peine plus de la moitié de leurs besoins en énergie (53%). « Un chiffre loin des 70% de dépendance énergétique généralement mentionnée par les experts, pour justifier la nécessité de créer une union de l’énergie, l’un des principaux projets de la Commission européenne en poste » commente l’article.
Dans un article consacré aux résultats publiés par Eurostat, le journal économique s’interroge sur cette nouvelle tendance : les Européens consomment de moins en moins d’électricité. Plus flagrant encore, en 2013, la consommation a atteint un niveau équivalent à celui de 1990. Par ailleurs, en lien avec cette baisse, les pays européens ont importé à peine plus de la moitié de leurs besoins en énergie (53%). « Un chiffre loin des 70% de dépendance énergétique généralement mentionnée par les experts, pour justifier la nécessité de créer une union de l’énergie, l’un des principaux projets de la Commission européenne en poste » commente l’article.
Baisse de 9,1% par rapport à 2006
Si l’on en croit les chiffres d’Eurostat, les pays de l’Union européenne ont consommé 1,66 milliard de tonnes équivalent pétrole (Mtep). C’est beaucoup moins que les années précédentes. A titre de comparaison, c’est 9,1% moins qu’en 2006, année record de la consommation communautaire.
Selon l’enquête de l’organisme, les énergies renouvelables prennent une part de plus en plus importante. « Ainsi, l’énergie produite dans l’UE est fournie à 29% par le nucléaire, et à 24% par les énergies renouvelables (24%). Les combustibles solides, essentiellement du charbon, compte pour 20%, le gaz pour 17%, le pétrole brut pour 9% et les déchets non renouvelables entrent enfin dans les statistiques, pour 1% » rapporte Les Echos.
Le Royaume-Uni et la France avancent des chiffres positifs en termes d’indépendance énergétique. Ces deux pays importent respectivement 46,4% et 47,9% de leur énergie. C’est beaucoup mieux que l’Allemagne, l’Espagne et l’Italie qui importent 62,7%, 70,5% et 76,9%.
Selon l’enquête de l’organisme, les énergies renouvelables prennent une part de plus en plus importante. « Ainsi, l’énergie produite dans l’UE est fournie à 29% par le nucléaire, et à 24% par les énergies renouvelables (24%). Les combustibles solides, essentiellement du charbon, compte pour 20%, le gaz pour 17%, le pétrole brut pour 9% et les déchets non renouvelables entrent enfin dans les statistiques, pour 1% » rapporte Les Echos.
Le Royaume-Uni et la France avancent des chiffres positifs en termes d’indépendance énergétique. Ces deux pays importent respectivement 46,4% et 47,9% de leur énergie. C’est beaucoup mieux que l’Allemagne, l’Espagne et l’Italie qui importent 62,7%, 70,5% et 76,9%.