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En parallèle des dossiers nationaux, le gouvernement veut porter le sujet de l’égalité hommes-femmes sur le plan international. Le ministère des Affaires étrangères qui s’est vu confier cette mission mise sur l’engagement du secteur privé. C’est dans cette optique que le ministre Jean-Yves Le Drian a sollicité la plateforme RSE pour qu’elle rende un diagnostic et des recommandations dans le domaine.
« Un des objectifs énoncés par cette troisième stratégie est de renforcer les liens avec le secteur privé pour lutter contre les inégalités entre les femmes et les hommes. Le monde de l’entreprise doit, en effet, combattre ces inégalités. L’égalité professionnelle, notamment salariale, mais aussi la lutte contre les violences sexuelles et sexistes au travail, la mixité des emplois, et la conciliation entre la vie personnelle et professionnelle sont autant d’enjeux qui requièrent l’implication des entreprises, qu’elles opèrent sur le territoire français ou à l’étranger » explique le communiqué de publié sur le site Stratégie.gouv.
En prenant des initiatives ambitieuses en France et en les appliquant scrupuleusement à l’étranger, les entreprises françaises pourraient avoir un coup à jouer. Outre le fait qu’elles participeraient à donner une bonne image de leur pays, elles pourraient également en profiter pour développer un atout concurrentiel de taille. Les grands mouvements de l’opinion publique sur les questions de sexisme et de harcèlement ont été planétaires. « La Plateforme RSE, qui réunit depuis 2013 les représentants des différentes parties prenantes de la RSE en France, se penchera sur ces enjeux, et notamment sur l’impact de l’internationalisation des activités des entreprises sur l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes qu’elles salarient et sur l’égalité entre les femmes et les hommes habitant le territoire où elles les exercent. Ses travaux seront présentés au ministre de l’Europe et des Affaires étrangères en 2019 » conclue le communiqué.
« Un des objectifs énoncés par cette troisième stratégie est de renforcer les liens avec le secteur privé pour lutter contre les inégalités entre les femmes et les hommes. Le monde de l’entreprise doit, en effet, combattre ces inégalités. L’égalité professionnelle, notamment salariale, mais aussi la lutte contre les violences sexuelles et sexistes au travail, la mixité des emplois, et la conciliation entre la vie personnelle et professionnelle sont autant d’enjeux qui requièrent l’implication des entreprises, qu’elles opèrent sur le territoire français ou à l’étranger » explique le communiqué de publié sur le site Stratégie.gouv.
En prenant des initiatives ambitieuses en France et en les appliquant scrupuleusement à l’étranger, les entreprises françaises pourraient avoir un coup à jouer. Outre le fait qu’elles participeraient à donner une bonne image de leur pays, elles pourraient également en profiter pour développer un atout concurrentiel de taille. Les grands mouvements de l’opinion publique sur les questions de sexisme et de harcèlement ont été planétaires. « La Plateforme RSE, qui réunit depuis 2013 les représentants des différentes parties prenantes de la RSE en France, se penchera sur ces enjeux, et notamment sur l’impact de l’internationalisation des activités des entreprises sur l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes qu’elles salarient et sur l’égalité entre les femmes et les hommes habitant le territoire où elles les exercent. Ses travaux seront présentés au ministre de l’Europe et des Affaires étrangères en 2019 » conclue le communiqué.