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Après le départ de François de Rugy, le coprésident du groupe Europe Ecologie Les Verts (EELV), c’est Jean-Vincent Placé, le président du groupe au Sénat qui a annoncé à son tour son départ du parti ce vendredi 28 août.
Un article en ligne du journal Le Monde fait part du départ mouvementé de Jean-Vincent Placé du groupe Europe Ecologie Les Verts. Le président du groupe au Sénat a annoncé, selon les informations du Monde, son départ sur Europe 1, en qualifiant le parti d’ « astre mort, une structure morte qui donne une vision caricaturale et politicienne de l’écologie ».
Un article en ligne du journal Le Monde fait part du départ mouvementé de Jean-Vincent Placé du groupe Europe Ecologie Les Verts. Le président du groupe au Sénat a annoncé, selon les informations du Monde, son départ sur Europe 1, en qualifiant le parti d’ « astre mort, une structure morte qui donne une vision caricaturale et politicienne de l’écologie ».
« Le feu à la maison des écologistes »
Selon l’article du journal Le Monde, Jean-Vincent Placé a affirmé, le jour de son départ, sa volonté de fédérer un nouveau mouvement de l’écologie réformatrice, en soulignant ses objectifs : « Je souhaite fédérer autour de moi, avec François de Rugy, un grand mouvement de l’écologie réformatrice. […] Mon objectif, c’est d’animer l’écologie réformatrice qui assume la mondialisation, qui est pour l’Europe fédérale, qui aime la République, qui aime la laïcité et qui s’inscrit bien sûr dans l’économie de marché, qui veut faire changer les choses. »
Soulignant un manque de soutien important de la part du gouvernement, le représentant du groupe écologiste au Sénat s’en dit « sidéré ». L’article du Monde rappelle ses déclarations lors des journées du Front démocrate et Génération écologie à La Rochelle (Charente-Maritime) : « Il y a urgence et il y a le feu à la maison de la gauche et des écologistes. Il est encore temps de rassembler, il faut le faire sur le fond, sur les projets », avant d’ajouter « J’ai trop cru à la force des partis, j’ai longtemps cru aux accords intermédiaires, aux protocoles. Je crois que c’est totalement fini tout ça. EELV, on y est ou on n’y est pas, mais au fond, c’est déjà une structure morte. »
Soulignant un manque de soutien important de la part du gouvernement, le représentant du groupe écologiste au Sénat s’en dit « sidéré ». L’article du Monde rappelle ses déclarations lors des journées du Front démocrate et Génération écologie à La Rochelle (Charente-Maritime) : « Il y a urgence et il y a le feu à la maison de la gauche et des écologistes. Il est encore temps de rassembler, il faut le faire sur le fond, sur les projets », avant d’ajouter « J’ai trop cru à la force des partis, j’ai longtemps cru aux accords intermédiaires, aux protocoles. Je crois que c’est totalement fini tout ça. EELV, on y est ou on n’y est pas, mais au fond, c’est déjà une structure morte. »