Creative Commons - Pixabay
Pour une fois qu’un objectif est atteint dans le domaine. D’après un rapport de la Banque Mondiale, les objectifs d’infrastructures de développement durable des pays en développement sont sur le point d’être atteints. Intitulé « Beyond the Gap », le rapport de l’institution estime que ces pays s’approchent du seuil de 4,5% de leur PIB consacré aux infrastructures de ce type. Or, ce même rapport montre qu’avec des dépenses optimisées et bien dirigées, à l’échelle globale, avec 4,5% du PIB dans cette direction les objectifs de limitations de CO2 peuvent être tenus.
C’est la première fois qu’un rapport s’attaque principalement à la question des infrastructures. « Jusqu'ici, les estimations des besoins en dépenses d'infrastructure étaient souvent imprécises et incomplètes. Le rapport Beyond the Gap met davantage l'accent sur l'optimisation de ces dépenses que sur leur hausse, en s'appuyant sur des objectifs précis et des calculs pertinents. Il s'appuie sur une approche par scénario et prouve que le volume de dépenses qu'un pays doit consentir dépend de ses ambitions et de son efficacité » rapporte la Banque Mondiale par communiqué.
Mais si les objectifs sont accessibles, il y a encore beaucoup de travail à accomplir. « Les chiffres témoignent de l'ampleur du déficit actuel d'infrastructures : 940 millions d'individus privés d'électricité ; 663 millions de personnes sans accès à des points d'eau potable améliorés ; 2,4 milliards d'êtres humains vivant sans installations sanitaires correctes ; 1 milliard d'individus résidant à plus de 2 kilomètres d'une route praticable en toute saison ; et 4 milliards d'habitants sans accès à internet. Sans oublier le nombre incalculable de personnes ne pouvant accéder ni à l'emploi ni à l'éducation, faute de transports adaptés ou de moyens pour les payer » lit-on plus loin. Tout repose ainsi sur les paradigmes qui vont être privilégiés pour les nouvelles infrastructures.
C’est la première fois qu’un rapport s’attaque principalement à la question des infrastructures. « Jusqu'ici, les estimations des besoins en dépenses d'infrastructure étaient souvent imprécises et incomplètes. Le rapport Beyond the Gap met davantage l'accent sur l'optimisation de ces dépenses que sur leur hausse, en s'appuyant sur des objectifs précis et des calculs pertinents. Il s'appuie sur une approche par scénario et prouve que le volume de dépenses qu'un pays doit consentir dépend de ses ambitions et de son efficacité » rapporte la Banque Mondiale par communiqué.
Mais si les objectifs sont accessibles, il y a encore beaucoup de travail à accomplir. « Les chiffres témoignent de l'ampleur du déficit actuel d'infrastructures : 940 millions d'individus privés d'électricité ; 663 millions de personnes sans accès à des points d'eau potable améliorés ; 2,4 milliards d'êtres humains vivant sans installations sanitaires correctes ; 1 milliard d'individus résidant à plus de 2 kilomètres d'une route praticable en toute saison ; et 4 milliards d'habitants sans accès à internet. Sans oublier le nombre incalculable de personnes ne pouvant accéder ni à l'emploi ni à l'éducation, faute de transports adaptés ou de moyens pour les payer » lit-on plus loin. Tout repose ainsi sur les paradigmes qui vont être privilégiés pour les nouvelles infrastructures.