Source : Pixabay, image libre de droits.
Des rejets industriels continueront à être rejetés par l’industriel Alteo dans le parc narional des Calanques de Marseille, après une autorisation de la commission d’enquête publique.
Un article en ligne du journal Le Parisien souligne les enjeux que représentent ces rejets pour la ville.
Un article en ligne du journal Le Parisien souligne les enjeux que représentent ces rejets pour la ville.
« Les esprits s’échauffent »
L’article du Parisien explique que « dans son avis, la commission d'enquête donne ‘un avis favorable à la demande de concession du domaine public maritime’ formulée par l'industriel. »
L’article ajoute que « de son côté, le préfet devrait rendre une décision d'ici à la fin de l'année. Ce dossier suscite un débat passionné entre scientifiques, défenseurs de l'environnement et ceux qui veulent maintenir cette activité industrielle à Gardanne. »
En outre, « depuis près de cinquante ans, cette usine, ancien site de production d'alumine de Pechiney et du géant minier anglo-australien Rio Tinto, racheté en 2012 par le fonds d'investissement américain HIG et rebaptisé Alteo, bénéficie d'un droit à rejeter en mer ses résidus, jusque-là des boues rouges, à 7 km au large de Cassis. Une autorisation qui prendra fin le 31 décembre. »
Cependant, Le Parisien précise que « depuis que le conseil d'administration du parc national des Calanques, proche de Marseille, a prolongé la dérogation de trente ans en septembre 2014, les esprits s'échauffent. Pêcheurs, riverains et experts en biologie marine n'ont cessé de clamer le caractère aberrant d'une telle installation en plein cœur d'un parc marin. »
L’article précise également que « la ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal, a réclamé des études, notamment sur la faune marine », ajoutant que « de son côté, Alteo affirme que son nouveau procédé antipollution permettra de débarrasser les rejets des parties solides et que, par conséquent, l'entreprise ne déverserait plus de boues rouges au sens propre mais un effluent liquide. Une solution technique qui ne satisfait pas les professionnels de la mer et notamment les pêcheurs. »
Lire l'intégralité de l'article du Parisien ici
L’article ajoute que « de son côté, le préfet devrait rendre une décision d'ici à la fin de l'année. Ce dossier suscite un débat passionné entre scientifiques, défenseurs de l'environnement et ceux qui veulent maintenir cette activité industrielle à Gardanne. »
En outre, « depuis près de cinquante ans, cette usine, ancien site de production d'alumine de Pechiney et du géant minier anglo-australien Rio Tinto, racheté en 2012 par le fonds d'investissement américain HIG et rebaptisé Alteo, bénéficie d'un droit à rejeter en mer ses résidus, jusque-là des boues rouges, à 7 km au large de Cassis. Une autorisation qui prendra fin le 31 décembre. »
Cependant, Le Parisien précise que « depuis que le conseil d'administration du parc national des Calanques, proche de Marseille, a prolongé la dérogation de trente ans en septembre 2014, les esprits s'échauffent. Pêcheurs, riverains et experts en biologie marine n'ont cessé de clamer le caractère aberrant d'une telle installation en plein cœur d'un parc marin. »
L’article précise également que « la ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal, a réclamé des études, notamment sur la faune marine », ajoutant que « de son côté, Alteo affirme que son nouveau procédé antipollution permettra de débarrasser les rejets des parties solides et que, par conséquent, l'entreprise ne déverserait plus de boues rouges au sens propre mais un effluent liquide. Une solution technique qui ne satisfait pas les professionnels de la mer et notamment les pêcheurs. »
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