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Février pourrait être le mois de la reprise pour les théâtres, cinémas et salles de concert. C’est ce que l’on retient des annonces du premier ministre jeudi 20 janvier. Jean Castex a ainsi donné le calendrier des levées de contraintes. « Concrètement, les spectacles se déroulant avec un public assis pourront avoir lieu sans jauge à partir du 2 février. Depuis le 3 janvier, la capacité maximale des salles avait été fixée à 2 000 spectateurs en intérieur et à 5 000 en extérieur, ce qui avait entraîné l’annulation de nombreuses manifestations. Pour les concerts debout, qui étaient purement et simplement interdits depuis le 3 janvier, à l’intérieur comme à l’extérieur, les professionnels devront attendre le 16 février avant de pouvoir reprendre leur activité. Un délai supplémentaire jugé nécessaire par le premier ministre pour « absorber les effets du pic épidémique » et s’assurer d’un réel reflux de la cinquième vague de contamination, alors que plus de 425 000 cas positifs au Covid-19 ont été encore enregistrés jeudi » résume Le Monde .
Le passe vaccinal est ainsi annoncé comme prévu comme la nouvelle condition pour les spectateurs ou visiteurs de plus de 16 ans. Les 12-15 ans doivent avoir un passe sanitaire tandis que les moins de 12 ans n’ont besoin de rien, sauf d’un masque. S’il est difficile d’évaluer l’impact de l’obligation vaccinale pour les lieux qui accueillent du public, personne ne s’attend à un recul flagrant de fréquentation par rapport au passe sanitaire.
Le fait que des dates soient connus à l’avance est particulièrement bien reçu par les professionnels qui se plaignent depuis le début de la crise de l’impossibilité de planifier leur activité. Seul regret, le maintien de l’interdiction de consommer dans les cinémas jusqu’au 16 février. Manne financière certaine pour les établissements, l’interdiction aura lieu pendant l’intégralité des vacances de la zone 1 et la moitié de la zone suivante.
Le passe vaccinal est ainsi annoncé comme prévu comme la nouvelle condition pour les spectateurs ou visiteurs de plus de 16 ans. Les 12-15 ans doivent avoir un passe sanitaire tandis que les moins de 12 ans n’ont besoin de rien, sauf d’un masque. S’il est difficile d’évaluer l’impact de l’obligation vaccinale pour les lieux qui accueillent du public, personne ne s’attend à un recul flagrant de fréquentation par rapport au passe sanitaire.
Le fait que des dates soient connus à l’avance est particulièrement bien reçu par les professionnels qui se plaignent depuis le début de la crise de l’impossibilité de planifier leur activité. Seul regret, le maintien de l’interdiction de consommer dans les cinémas jusqu’au 16 février. Manne financière certaine pour les établissements, l’interdiction aura lieu pendant l’intégralité des vacances de la zone 1 et la moitié de la zone suivante.