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La pollution tue, le Covid-19 également. Il n’est donc pas ahurissant de découvrir que les deux combinés augmentent encore plus les risques. « Une nouvelle étude américaine publiée dans la revue médicale MedRxiv relie la pollution de l'air et la létalité du Covid-19. En se basant sur 90 % des cas de décès liés au coronavirus aux États-Unis depuis le 4 avril, les chercheurs de l'université de Harvard (Boston) démontrent un taux de mortalité accru des patients exposés pendant quinze à vingt ans aux particules fines PM2,5 » a repéré Actu Environnement .
Le site spécialisé rappelle que ce n’est pas la première étude qui montre qu’avoir été soumis durablement à la pollution augmente les risques de mortalité chez les personnes infectées par le Covid-19. Mais cette dernière étude est plus précise et va même jusqu’à estimer les conséquences d’une hausse de la pollution. « Selon leurs conclusions, toute hausse de 1µg/m3 de la teneur atmosphérique en PM2,5 entraînerait un taux de mortalité accru de 15 %. L'étude ne permet pas de trancher quant au rôle direct de la pollution, qui rendrait la population plus sensible au virus, ou sur des effets indirects, qui favoriseraient des maladies cardiovasculaires ou pulmonaires qui augmentent elles-mêmes le risque de mourir du virus. Ou si ces deux effets s'exercent en même temps » appuie Actu Environnement.
D’autres études doivent paraitre pour confirmer le lien entre létalité du virus et pollution atmosphérique. D’un point de vue général cette conclusion semble logique étant donné que les études sur les morts causés par la pollution prennent en compte les maladies respiratoires ou autres pathologies qui sont favorisées ou accentuées par une mauvaise qualité de l’air. Catégorie à laquelle, on le voit tous les jours, le Covid-19 fait évidemment partie.
Le site spécialisé rappelle que ce n’est pas la première étude qui montre qu’avoir été soumis durablement à la pollution augmente les risques de mortalité chez les personnes infectées par le Covid-19. Mais cette dernière étude est plus précise et va même jusqu’à estimer les conséquences d’une hausse de la pollution. « Selon leurs conclusions, toute hausse de 1µg/m3 de la teneur atmosphérique en PM2,5 entraînerait un taux de mortalité accru de 15 %. L'étude ne permet pas de trancher quant au rôle direct de la pollution, qui rendrait la population plus sensible au virus, ou sur des effets indirects, qui favoriseraient des maladies cardiovasculaires ou pulmonaires qui augmentent elles-mêmes le risque de mourir du virus. Ou si ces deux effets s'exercent en même temps » appuie Actu Environnement.
D’autres études doivent paraitre pour confirmer le lien entre létalité du virus et pollution atmosphérique. D’un point de vue général cette conclusion semble logique étant donné que les études sur les morts causés par la pollution prennent en compte les maladies respiratoires ou autres pathologies qui sont favorisées ou accentuées par une mauvaise qualité de l’air. Catégorie à laquelle, on le voit tous les jours, le Covid-19 fait évidemment partie.