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Plus les concepts de responsabilité écologique et de développement durable prennent de l’ampleur, plus celui de greenwhashing l’accompagne. Soucieuse de répondre aux nouveaux critères d’évaluation ou de respectabilité, l’écologie est parfois un langage marketing plus qu’à des engagements réels. Sur un blog hébergé par le site spécialisé Actu-Environnement, Alexandre Pasche, de la Fabrique Ecologique, revient sur ce phénomène et propose des pistes intéressantes pour le dépasser.
« Pratiqué par de multiples acteurs (entreprises, associations, collectivités territoriales, personnalités politiques, etc.), il a notamment été dénoncé par les associations de défense de l'environnement et de consommateurs dans la communication des entreprises privées. En effet, ce type de greenwashing a un triple effet dévastateur pour l'environnement dans la mesure où il fait passer pour écologiquement vertueux des produits ou des services qui ne le sont pas, donne bonne conscience au consommateur qui a le sentiment d'acheter "écologique" et instaure une méfiance générale à l'égard des promesses environnementales parfois justifiées » constate-t-il dans un premier temps.
« Pratiqué par de multiples acteurs (entreprises, associations, collectivités territoriales, personnalités politiques, etc.), il a notamment été dénoncé par les associations de défense de l'environnement et de consommateurs dans la communication des entreprises privées. En effet, ce type de greenwashing a un triple effet dévastateur pour l'environnement dans la mesure où il fait passer pour écologiquement vertueux des produits ou des services qui ne le sont pas, donne bonne conscience au consommateur qui a le sentiment d'acheter "écologique" et instaure une méfiance générale à l'égard des promesses environnementales parfois justifiées » constate-t-il dans un premier temps.
Prouver sa bonne foi
Parmi les pistes avancées, le spécialiste avance celle de la preuve de la bonne foi, et notamment en faisant vérifier la réalité des engagements par un « tiers de confiance ». « Elles peuvent faire le choix d'un label ou d'une certification officiels (Ecolabel européen, AB, etc.) ou adosser leur communication à une association. Celle-ci serait chargée via des mesures de contrôle et de vérification, de garantir les résultats auprès du public. Certaines entreprises ont déjà pris ce chemin » continue-t-il.
Des solutions simples et transparentes doivent émerger pour que les entreprises de bonne foi puissent facilement prouver que leur engagement est réel. « Dans le cas contraire, si la méfiance persiste et s'accroit, les entreprises éviteront de communiquer sur ces sujets, auront moins intérêt à réellement progresser sur le plan environnemental et verront, à terme, les citoyens-consommateurs se détourner progressivement de leurs marques » conclue avec justesse l’article du blog Actu-Environnement.
Lire ici en intégralité l’analyse sur le site Actu-Environnement
Des solutions simples et transparentes doivent émerger pour que les entreprises de bonne foi puissent facilement prouver que leur engagement est réel. « Dans le cas contraire, si la méfiance persiste et s'accroit, les entreprises éviteront de communiquer sur ces sujets, auront moins intérêt à réellement progresser sur le plan environnemental et verront, à terme, les citoyens-consommateurs se détourner progressivement de leurs marques » conclue avec justesse l’article du blog Actu-Environnement.
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