Source : Pixabay, image libre de droits.
La phytoremédiation serait une technique d’avenir, efficace et à bas prix, pour dépolluer les sols et les eaux.
Un article en ligne du journal Le Parisien explique le principe et l’efficacité d’une telle méthode, montrant que certains végétaux peuvent piéger les polluants.
Un article en ligne du journal Le Parisien explique le principe et l’efficacité d’une telle méthode, montrant que certains végétaux peuvent piéger les polluants.
Une alternative aux lieux d’enfouissement
L’article du Parisien explique que « jusqu’à présent, les techniques habituelles de décontamination des sols (et par conséquent, des eaux) consistaient à simplement déplacer la pollution en transportant des masses parfois considérables de terre vers des lieux d’enfouissement », ajoutant qu’« aujourd’hui, il semble qu’une solution bien plus probante vienne de la nature elle-même. »
En effet, « certaines plantes ont révélé une capacité à extraire du sol certains pesticides ou métaux lourds. »
Le Parisien précise qu’« après deux années d’expérimentation sur un lieu test de mille mètres carrés situés à Creil, dans la région parisienne, on en sait un peu plus sur cet étrange phénomène et sur les résultats de cette reconquête environnementale. »
Ainsi, d’après l’article, « sur le site d’une ancienne usine de camping-cars fermée dans les années 90 (qui présentait un sol pollué non seulement par l’activité mais aussi par les remblais successifs), on a planté des saules des vanniers ainsi que des grabettes de Haller, qui non seulement supportent la pollution au zinc ou au cadmium, mais l’absorbent au fur et à mesure de leur croissance. »
Par conséquent, « à chaque printemps, lorsque ces végétaux renaissent, les matières polluantes montent avec la sève dans les nouvelles feuilles, et c’est autant de moins pour les nappes phréatiques. »
Lire l'intégralité de l'article du Parisien ici
En effet, « certaines plantes ont révélé une capacité à extraire du sol certains pesticides ou métaux lourds. »
Le Parisien précise qu’« après deux années d’expérimentation sur un lieu test de mille mètres carrés situés à Creil, dans la région parisienne, on en sait un peu plus sur cet étrange phénomène et sur les résultats de cette reconquête environnementale. »
Ainsi, d’après l’article, « sur le site d’une ancienne usine de camping-cars fermée dans les années 90 (qui présentait un sol pollué non seulement par l’activité mais aussi par les remblais successifs), on a planté des saules des vanniers ainsi que des grabettes de Haller, qui non seulement supportent la pollution au zinc ou au cadmium, mais l’absorbent au fur et à mesure de leur croissance. »
Par conséquent, « à chaque printemps, lorsque ces végétaux renaissent, les matières polluantes montent avec la sève dans les nouvelles feuilles, et c’est autant de moins pour les nappes phréatiques. »
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