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Évidemment pour un rural avec peu de moyens, l’utilisation d’une voiture thermique au quotidien est une nécessité. Mais cela n’est en rien un obstacle à la consommation durable. Et c’est ce que l’on retient d’un article de 20 Minutes sur les astuces pour une consommation compatible avec les enjeux environnementaux. La question n’est pas tant de mettre tous les modes de vie face aux mêmes exigences mais convaincre que la consommation durable est un état d’esprit adoptable par tous.
Pour ce qui est des produits consommés par exemple. Si le budget ne permet pas d’acheter du Bio, il n’entre pas en jeu lorsqu’il s’agit de vivre en fonction des saisons et de se détourner des produits importés. La consommation locale et adaptés aux périodes est ainsi un levier central.
Par ailleurs, certaines autres habitudes sont synonymes d’économies, retoquant ainsi l’idée d’un mode de vie durable réservés aux plus riches. Limiter ses consommations d’énergie ou d’eau, acheter des produits d’occasion ou reconditionnés sont autant de petits engagements quotidiens qui participent à un effort collectif et permettent d’économiser de l’argent. Enfin, la réduction des déchets en faisant des efforts pour éviter le gaspillage est aussi une approche de la consommation qui est avant tout une question d’état d’esprit.
Alors que les sondages se multiplient sur le sujet des enjeux environnementaux, à chaque fois les commentateurs notent l’augmentation du nombre de personnes qui estiment que c’est un sujet important. Oubliant trop souvent que la polarisation politique a tendance à classer le sujet dans une forme de clivage. Paradoxalement, c’est la politisation des sujets environnementaux qui a participé à les faire connaitre et qui désormais agit comme répulsif. De la crise des Gilets jaunes, beaucoup ont retenu l’origine de la taxe sur les carburants qui a été effectivement été un déclencheur. Mais s’il l’a été c’est avant tout cas l’impact sur le quotidien de milliers de personnes n’avait pas été anticipé, pas en raison de sa justification.
Pour ce qui est des produits consommés par exemple. Si le budget ne permet pas d’acheter du Bio, il n’entre pas en jeu lorsqu’il s’agit de vivre en fonction des saisons et de se détourner des produits importés. La consommation locale et adaptés aux périodes est ainsi un levier central.
Par ailleurs, certaines autres habitudes sont synonymes d’économies, retoquant ainsi l’idée d’un mode de vie durable réservés aux plus riches. Limiter ses consommations d’énergie ou d’eau, acheter des produits d’occasion ou reconditionnés sont autant de petits engagements quotidiens qui participent à un effort collectif et permettent d’économiser de l’argent. Enfin, la réduction des déchets en faisant des efforts pour éviter le gaspillage est aussi une approche de la consommation qui est avant tout une question d’état d’esprit.
Alors que les sondages se multiplient sur le sujet des enjeux environnementaux, à chaque fois les commentateurs notent l’augmentation du nombre de personnes qui estiment que c’est un sujet important. Oubliant trop souvent que la polarisation politique a tendance à classer le sujet dans une forme de clivage. Paradoxalement, c’est la politisation des sujets environnementaux qui a participé à les faire connaitre et qui désormais agit comme répulsif. De la crise des Gilets jaunes, beaucoup ont retenu l’origine de la taxe sur les carburants qui a été effectivement été un déclencheur. Mais s’il l’a été c’est avant tout cas l’impact sur le quotidien de milliers de personnes n’avait pas été anticipé, pas en raison de sa justification.