Creative Commons - Pixabay
Boycotter les marques qui se comportent particulièrement mal n’est pas le seul moyen de consommer responsable. Grâce au travail d’information du public des associations et des médias, le consommateur peut plus que jamais prendre de bonnes habitudes. En se renseignant sur les lieux de production des entreprises, sur les engagements RSE, on peut favoriser un produit plutôt sans trop se compliquer la vie. Dans un article consacré à la consommation responsable le site Mic donne quelques pistes. Reconnaissant d’abord que cet état d’esprit a un impact sur le niveau de dépenses, l’article souligne qu’il est possible de se repérer dans une offre pléthorique.
« Le consumérisme “conscient” peut avoir un bon impact sur le budget, car vous devez trouver ce dont vous avez réellement besoin et qui mérite une dépense, et prendre du temps pour rechercher les meilleures options » assure à Mic, Arielle O’Shea, une responsable finances personnelles de NerdWallet. « Autrement dit, puisque les entreprises ne nous disent pas quel est leur niveau de malfaisance, il faut le rechercher soi-même. Ceci implique un petit effort qui, selon O'Shea, permet de faire moins d'achats impulsifs. De même, comme les produits bio et/ou équitables sont souvent plus chers, ils nous amènent à bien planifier et réfléchir à la manière dont nous allons dépenser notre argent. Selon la spécialiste, cela constitue une forme d'empowerment, qui permet d'être « plus confiant et informé sur nos finances » » poursuit le site hébergé par Slate.fr.
Les pratiques de consommation responsable sont d’autant plus vertueuses qu’elles permettent de renforcer les acteurs économiques qui s’engagent. Si des politiques RSE ambitieuses obtiennent rapidement des résultats commerciaux, et qu’à l’inverse les entreprises irresponsables essuient des revers, la consommation responsable devient motrice d’une évolution de société. Participer à créer une demande exigeante, c’est encourager une offre du même ordre.
« Le consumérisme “conscient” peut avoir un bon impact sur le budget, car vous devez trouver ce dont vous avez réellement besoin et qui mérite une dépense, et prendre du temps pour rechercher les meilleures options » assure à Mic, Arielle O’Shea, une responsable finances personnelles de NerdWallet. « Autrement dit, puisque les entreprises ne nous disent pas quel est leur niveau de malfaisance, il faut le rechercher soi-même. Ceci implique un petit effort qui, selon O'Shea, permet de faire moins d'achats impulsifs. De même, comme les produits bio et/ou équitables sont souvent plus chers, ils nous amènent à bien planifier et réfléchir à la manière dont nous allons dépenser notre argent. Selon la spécialiste, cela constitue une forme d'empowerment, qui permet d'être « plus confiant et informé sur nos finances » » poursuit le site hébergé par Slate.fr.
Les pratiques de consommation responsable sont d’autant plus vertueuses qu’elles permettent de renforcer les acteurs économiques qui s’engagent. Si des politiques RSE ambitieuses obtiennent rapidement des résultats commerciaux, et qu’à l’inverse les entreprises irresponsables essuient des revers, la consommation responsable devient motrice d’une évolution de société. Participer à créer une demande exigeante, c’est encourager une offre du même ordre.