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Les marques américaines à dimension mondiales quittent la Russie pour de bon. « Coca-Cola avait déjà annoncé en mars son retrait de Russie, sans apporter plus de détails. C'est désormais au tour de la société d'embouteillage, Coca-Cola Hellenic Bottling Company (HBC) de faire part de l'arrêt de ses activités. La compagnie va écouler ses stocks jusqu'à épuisement, sans les renouveler. Dans un communiqué, le groupe a précisé qu'il «ne produira ni ne vendra plus de Coca-Cola ou d'autres marques de la société en Russie » » relève Le Figaro.
Contrairement à Mac Donald, Coca-Cola était présent dans le pays avant la chute de l’URSS. « Il s'agit d'une première depuis les années 1980, date à laquelle est apparu pour la première fois Coca-Cola sur le territoire russe, à l'occasion des Jeux olympiques de Moscou. C'est en 1986 que le groupe a implanté sa première usine de production. Même durant la guerre froide, Coca-Cola continuait de produire et de vendre ses références sur le territoire de l'ex-Union Soviétique. Aujourd'hui, l'entreprise détient dix sites de production en Russie, qui embouteillent des boissons non alcoolisées et des jus de fruits. Au total, la firme emploie 7 000 personnes, essentiellement des jeunes Russes de moins de trente ans, représentant 44% des employés » explique le quotidien.
Pour la compagnie c’est un coup dur puisque le bénéfice net de 2021 était exceptionnel avec plus d’un demi-milliard d’euros. « Afin de combler l'absence de Coca-Cola, certaines entreprises russes ont développé des alternatives. Par exemple, le 16 mai, la marque Ochakovo a dévoilé une nouvelle gamme de boissons, aux «saveurs classiques de vos boissons gazeuses préférées». Parmi les références se trouvent le CoolCola, «une boisson expressive et rafraîchissante au goût culte», le Fancy ou encore le Street, qui ressemblent fortement à leurs modèles américains. D'autres fabricants russes ont été encore plus rapides, comme Slavda qui a lancé le Grink Cola dès le mois d'avril qui revendique «le même goût» que l'original » conclue Le Figaro.
Contrairement à Mac Donald, Coca-Cola était présent dans le pays avant la chute de l’URSS. « Il s'agit d'une première depuis les années 1980, date à laquelle est apparu pour la première fois Coca-Cola sur le territoire russe, à l'occasion des Jeux olympiques de Moscou. C'est en 1986 que le groupe a implanté sa première usine de production. Même durant la guerre froide, Coca-Cola continuait de produire et de vendre ses références sur le territoire de l'ex-Union Soviétique. Aujourd'hui, l'entreprise détient dix sites de production en Russie, qui embouteillent des boissons non alcoolisées et des jus de fruits. Au total, la firme emploie 7 000 personnes, essentiellement des jeunes Russes de moins de trente ans, représentant 44% des employés » explique le quotidien.
Pour la compagnie c’est un coup dur puisque le bénéfice net de 2021 était exceptionnel avec plus d’un demi-milliard d’euros. « Afin de combler l'absence de Coca-Cola, certaines entreprises russes ont développé des alternatives. Par exemple, le 16 mai, la marque Ochakovo a dévoilé une nouvelle gamme de boissons, aux «saveurs classiques de vos boissons gazeuses préférées». Parmi les références se trouvent le CoolCola, «une boisson expressive et rafraîchissante au goût culte», le Fancy ou encore le Street, qui ressemblent fortement à leurs modèles américains. D'autres fabricants russes ont été encore plus rapides, comme Slavda qui a lancé le Grink Cola dès le mois d'avril qui revendique «le même goût» que l'original » conclue Le Figaro.