S'attaquer aux émissions à effet de serre, passe en grande partie par des mesures concernant le transport maritime. C'est en substance ce qu'il faut retenir de la prise de position de l'Organisation Maritime Internationale (OMI). De ce point de vue l'organisation assure que des progrès ont été effectués notamment par son département en charge de l'environnement qui a "approuvé des projets de modification visant à renforcer les exigences de conception en matière d'efficacité énergétique pour les nouveaux navires; et une réunion du groupe de travail intersessions a examiné diverses propositions obligatoires visant à réduire l'intensité en carbone des navires existants."
Des propositions concrètes plus détaillées sont attendues lors des prochaines réunions du groupe de travail intersessions et du MEPC en mars-avril 2020.
Dans l'intervalle, "l'obligation obligatoire de l'OMI en matière de collecte de données sur la consommation de mazout des navires atteint sa première année complète de rapports. et la quatrième étude de l'OMI sur les gaz à effet de serre a été lancée afin de fournir un inventaire actualisé des émissions de gaz à effet de serre provenant des transports maritimes internationaux", conclue l'OMI.
Des propositions concrètes plus détaillées sont attendues lors des prochaines réunions du groupe de travail intersessions et du MEPC en mars-avril 2020.
Dans l'intervalle, "l'obligation obligatoire de l'OMI en matière de collecte de données sur la consommation de mazout des navires atteint sa première année complète de rapports. et la quatrième étude de l'OMI sur les gaz à effet de serre a été lancée afin de fournir un inventaire actualisé des émissions de gaz à effet de serre provenant des transports maritimes internationaux", conclue l'OMI.