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Cueillir et déguster des champignons reste une démarche à prendre très au sérieux. Car alors que l'on pourrait croire que la sensibilisation sur ce sujet est largement accomplie, l'Agence sanitaire française (Anses) alerte sur le sujet et rapporte que le nombre d'intoxications est en forte hausse.
«Si de juillet à début octobre les centres antipoison enregistraient un nombre de cas variant de 4 à 90 par semaine, ce nombre est monté à 493 cas d'intoxications ces deux dernières semaines », souligne le communiqué de l'ANSES. Et de préciser que « les conséquences sur la santé de ce type d'intoxications peuvent être graves (troubles digestifs sévères, atteintes du foie pouvant nécessiter une greffe), voire mortelles. »
Les raisons de ces empoisonnements ne sont pas nouvelles et toujours le fruit des traditionnelles erreurs ou maladresses : « confusion d'une espèce comestible avec une espèce toxique, consommation de champignons comestibles en mauvais état ou mal cuits... C'est pourquoi, il est important de rester vigilant, que l'on soit connaisseur ou que l'on pratique la cueillette occasionnellement. »
Ainsi, face à ces cas qui se renouvellent chaque année, l'Anses et la DGS donnent une importante liste de recommandations : « ne ramasser que les champignons que vous connaissez parfaitement (...), de ne pas consommer la récolte avant de l'avoir fait contrôler par un spécialiste en la matière (...), De cueillir uniquement les spécimens en bon état et de prélever la totalité du champignon afin d'en permettre l'identification (...), De ne pas cueillir les champignons près de sites potentiellement pollués (...), De bien séparer par espèce les champignons récoltés pour éviter le mélange de morceaux de champignons vénéneux avec des champignons comestibles, De déposer les champignons séparément, dans une caisse ou un carton, mais jamais dans un sac plastique qui accélère le pourrissement, De vous laver les mains après la récolte De conserver les champignons à part et dans de bonnes conditions au réfrigérateur (...), De consommer les champignons en quantité raisonnable après une cuisson suffisante et de ne jamais les consommer crus; et de ne jamais proposer de champignons cueillis à de jeunes enfants.»
«Si de juillet à début octobre les centres antipoison enregistraient un nombre de cas variant de 4 à 90 par semaine, ce nombre est monté à 493 cas d'intoxications ces deux dernières semaines », souligne le communiqué de l'ANSES. Et de préciser que « les conséquences sur la santé de ce type d'intoxications peuvent être graves (troubles digestifs sévères, atteintes du foie pouvant nécessiter une greffe), voire mortelles. »
Les raisons de ces empoisonnements ne sont pas nouvelles et toujours le fruit des traditionnelles erreurs ou maladresses : « confusion d'une espèce comestible avec une espèce toxique, consommation de champignons comestibles en mauvais état ou mal cuits... C'est pourquoi, il est important de rester vigilant, que l'on soit connaisseur ou que l'on pratique la cueillette occasionnellement. »
Ainsi, face à ces cas qui se renouvellent chaque année, l'Anses et la DGS donnent une importante liste de recommandations : « ne ramasser que les champignons que vous connaissez parfaitement (...), de ne pas consommer la récolte avant de l'avoir fait contrôler par un spécialiste en la matière (...), De cueillir uniquement les spécimens en bon état et de prélever la totalité du champignon afin d'en permettre l'identification (...), De ne pas cueillir les champignons près de sites potentiellement pollués (...), De bien séparer par espèce les champignons récoltés pour éviter le mélange de morceaux de champignons vénéneux avec des champignons comestibles, De déposer les champignons séparément, dans une caisse ou un carton, mais jamais dans un sac plastique qui accélère le pourrissement, De vous laver les mains après la récolte De conserver les champignons à part et dans de bonnes conditions au réfrigérateur (...), De consommer les champignons en quantité raisonnable après une cuisson suffisante et de ne jamais les consommer crus; et de ne jamais proposer de champignons cueillis à de jeunes enfants.»