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Le WWF continue à promouvoir les bonnes pratiques en parallèle de ses campagnes de dénonciation des délits et crimes environnementaux. Parmi ces démarches positives, le WWF avec Riposte verte, publie pour la troisième fois en six ans son baromètre des politiques d’économie de papier des entreprises. Ce Baromètre PAP50 liste cinquante-trois entreprises en les classant en fonction de leur ambition à économiser le papier. « Qu’elle s’inscrive dans une logique écologique ou, plus prosaïquement, dans une volonté de réduction de coûts, la politique papier menée au sein d’une entreprise peut en dire long sur son engagement en matière de responsabilité sociale et environnementale » estime un article publié sur le site « Business » du quotidien Les Echos.
Après avoir regretté que 59% des entreprises analysées n’ont pas choisi volontairement de participer, l’ONG avance que, sauf exception, les entreprises qui sont hostiles à la transparence sont en générale celles qui ont les pratiques les moins vertueuses.
« Parmi les 53 entreprises figurant dans ce baromètre, La Française des Jeux fait office de premier de la classe avec un score de 86 sur 100 (2). Dans le top 5, suivent Yves Rocher (81), Engie (80), Carrefour (76) et La Poste (75).(…) Au contraire, Lactalis, Sodiaal, Solvay, KPMG et Atos font partie des entreprises les moins vertueuses, selon WWF, et pointent aux cinq dernières places, avec un score inférieur à 10 points » rapporte l’article.
Le classement est intéressant mais doit être relativiser. En effet, si l’engagement concerne tous les acteurs, les conséquences ne sont pas les mêmes selon le secteur d’activité. Le WWF s’inquiète donc particulièrement des mauvais résultats de Casino, Cora, Leclerc ou System U, dont la position de distributeur est clé : « ces entreprises ont une responsabilité cruciale dans la chaîne qui mène les ressources naturelles de la forêt aux consommateurs. Pourtant, certaines ne donnent même pas à leurs clients l’assurance qu’ils achètent des produits à risques faibles » estime l’ONG, citée par Les Echos.
Après avoir regretté que 59% des entreprises analysées n’ont pas choisi volontairement de participer, l’ONG avance que, sauf exception, les entreprises qui sont hostiles à la transparence sont en générale celles qui ont les pratiques les moins vertueuses.
« Parmi les 53 entreprises figurant dans ce baromètre, La Française des Jeux fait office de premier de la classe avec un score de 86 sur 100 (2). Dans le top 5, suivent Yves Rocher (81), Engie (80), Carrefour (76) et La Poste (75).(…) Au contraire, Lactalis, Sodiaal, Solvay, KPMG et Atos font partie des entreprises les moins vertueuses, selon WWF, et pointent aux cinq dernières places, avec un score inférieur à 10 points » rapporte l’article.
Le classement est intéressant mais doit être relativiser. En effet, si l’engagement concerne tous les acteurs, les conséquences ne sont pas les mêmes selon le secteur d’activité. Le WWF s’inquiète donc particulièrement des mauvais résultats de Casino, Cora, Leclerc ou System U, dont la position de distributeur est clé : « ces entreprises ont une responsabilité cruciale dans la chaîne qui mène les ressources naturelles de la forêt aux consommateurs. Pourtant, certaines ne donnent même pas à leurs clients l’assurance qu’ils achètent des produits à risques faibles » estime l’ONG, citée par Les Echos.